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     Je mets le blog en pause quelques jours pour pouvoir être mamy à plein temps. 

    A bientôt chers amis. 

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  • Et moi, je me contentais de t'aimer - Rosella Postorino - Babelio

     

    Au coeur de la guerre des Balkans, des enfants vivant dans un orphelinat à Sarajevo sont évacués vers l'Italie avec d'autres enfants.  Chacun avec ses rêves, ses espoirs, ses peurs, ses questions.  Il y a  Omar et son frère Senadin, Danilo et son ami Izet, Nada dont le frère ainé Ivo devra rester et combattre.  L'auteure nous raconte leur chemin de vie en Italie, à Sarajevo aussi.  Juifs ou chrétiens cela n'a aucune importance pour ces enfants pas plus de leur ethnie.  Ils partagent les mêmes peurs, les mêmes souffrances. Il faut apprendre à se construire sans racine, sans parents, dans une autre langue, une autre culture avec toutes les difficultés que cela comporte.  Pour certains la résilience, pour d'autres la révolte ou  le traumatisme destructeur.  Mais pour tous un déchirement que rien ne pourra jamais réparer. 

    Il n'y a pas de prise à partie, d'accusations, de jugements de la part de Rosella Postorino. Il n'y a qu'une histoire de déracinement sur les ruines des traumatismes de guerre, une histoire de reconstruction et de destruction.  Un roman fort qui touche profondément. 

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  •  Étoile de mer images libres de droit, photos de Étoile de mer |  Depositphotos

     

     
    Cet homme cheminait, le front bas, sur la plage, le long de l’océan. De temps en temps il se penchait, il ramassait au bord des vagues, sur le sable, on ne savait quoi et le jetait au loin dans l’eau.

    Un promeneur qui l’observait vint à lui, il le salua, puis :

    – Que faites-vous ? lui dit-il.

    – Vous le voyez, répondit l’autre, je rends à l’océan des étoiles de mer. La marée les a amenées, elles sont restées là, sur le sable, et je dois les remettre à l’eau, sinon c’est sûr, elles vont mourir.

    Le promeneur, surpris, lui dit :

    – Des étoiles de mer, rien que sur cette plage, il y en a des milliers. Et le long des côtes du monde, combien de millions de ces bêtes, que vous ne pouvez pas sauver, s’échouent tous les jours sur le sable ? Mourir ainsi est leur destin, et vous n’y pouvez rien changer.

    L’homme ramassa une étoile, la tint un instant dans la main.

    – Oui, sans doute, murmura-t-il.

    Et la rejetant dans les vagues :

    – Mais pour elle, ça change tout.

     

    Henri Gougaud 

    extrait de "Petits contes de sagesse pour temps turbulents"

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  • Pour mieux lire les dialogues qui vous paraissent trop petits, cliquez sur l'image 

    Elle est ouverte à tous vents maintenant cette maison ? 

    Les aventures des banquisards

     

    On se le demande :D

    Les aventures des banquisards

     

    Rassurez moi, il ne l'a pas ? 

    Les aventures des banquisards

     

     

    Après le décès de mon ami Césarion, j'ai décidé de continuer à laisser ses petits banquisards s'exprimer de temps en temps. Il aurait aimé les voir continuer leur vie d'ours râleurs mais attachants

    Mais vous pouvez les retrouver sur leur maison https://banquisards.blogspot.com

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  • Vincent Roca : la prière à la maladie !

     

    La maladie dans tous ses états... cascade de jeux de mots... (Prix Nobel de l'acné, auberge de jaunisse, réussir son eczéma...)

     

     

    https://www.youtube.com/watch?v=GGlTo_I2idk&t=47s

     

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