• niennnn 

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    Des jeunes filles de familles aisées pour la plupart, se préparent à un mariage arrangé avantageux dans un lycée perché sur la crête Congo-Nil à près de 2500 m d'altitude. Toutes ses filles sont issus d'un haut lignage. Seule un petit nombre d'entre elles sont de l'ethnie Tutsi. Dans cet établissement difficile d'accès et isolé sont présents les haines entre les ethnies Hutu et Tutsi, les affres du pouvoir, les amitiés...
    Dans une plantation abandonnée vit un vieux fou qui vouent une admiration sans borne au peuple tutsi qui descendent, selon lui, des pharaons noirs de Méroé. Avec passion, il peint les lycéennes dont les traits rappellent ceux de la déesse Isis et des insoumises reines Candace sculptées sur les stèles, au bord du Nil, il y a trois millénaires.

    Un huis-clos où sont exacerbés les rêves et les désillutions, les amitiés et les jalousie où nous pouvons lire un prélude au génocide rwandais. Le récit de Scholastique Mukasonga nous prépare à l'horreur du massacre qu'à vécu le pays des mille collines. 

     «Je m’appelle Mukasonga. Mukasonga est mon nom. Ce n’est pas un nom de famille.

    Au Rwanda, le nom ne se transmet pas d’une génération à l'’autre. Le père attribue un nom à chacun
    de ses enfants.
    Garçon ou fille, il portera ce nom toute sa vie et ne le transmettra pas à ses enfants.»
     
    Scholastique Mukasonga, extrait d’un article publié sur son site
     

     

     

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  • Un petit film d'animation plein de tendresse. Merci Lifetears kiss 

     

     

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     Un homme joue du violon dans une station de métro de Washington.  Plus de 1000 personnes passeront pour la plupart avec indifférence devant lui. Il jouera 6 morceaux de Bach et ne récoltera que 32 dollars en 45 mn, le tiers de ce que coûte le prix d'une place pour entendre ce virtuose lors d'un de ces récitals.
    Car l'homme qui fait la manche, n'est autre que l'un des plus grands violonistes de notre temps : Joshua Bell.  Son violon vaut plus de 3 millions de dollars.

    Ce qui démontre que nous sommes devenus indifférents aux belles choses. Trop recentrés sur nous-mêmes nous ne voyons plus la beauté : le chant d'un oiseau, un couple d'amoureux s'embrassant, le parfum d'une rose, les couleurs de l'automne.... plus rien ne nous émeut.  Ouvrons nos yeux et notre coeur pour nous emplir de toute la magnifiscence qui nous entoure et la joie reviendra emplir nos âmes.  

     


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