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Par Pestoune le 29 Avril 2021 à 20:45
La suite de l'entretien entre Philippe Cochinaux, père dominicain et Ilios Kotsou. Après avoir abordé le thème de prendre soin de soi, il nous montre l'importance de prendre soin de l'autre. Nous sommes des êtres relationnels et les liens sont essentiels. Dès notre naissance, le lien à l'autre est vital et ça ne cessera jamais tout au long de nos vies.
Avoir le souci de l'autre, c'est se soutenir, s'épauler, s'entraider. Avoir le souci de l'autre, c'est régénérateur.
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Par Pestoune le 9 Avril 2021 à 20:55
Dans cette dernière partie, nous voyons comment le mouvement trans fait taire les femmes allant jusqu'à dénigrer et harceler publiquement les femmes qui luttent pour leurs droits. Et ce mouvement va jusqu'à harceler tous ceux qui luttent au côté des femmes. Rien n'est épargné et la pression est telle que les dirigeants cèdent. Le mouvement devient si puissant que les politiciens cèdent aux pressions et ils sont infiltrés. D'ailleurs la question qui se pose, est : ces hommes qui se prétendent transgenres et envahissent l'espace féminin, ne sont ils pas des manipulateurs ? Lorsqu'on voit la violence avec laquelle ils s'attaquent aux féministes (voir par ailleurs l'affaire de J.K. Rowlings) la question me semble pertinente.
Certains transgenres se rendent de plus en plus compte que leur mouvement est phagocyté (je cite Sophie Robert ) " par des phallocrates mascus, des incels, des autogynéphiles, des proxénètes, des homophobes et des pédocriminels qui s'en servent chacun pour casser les limites au moment même où le féminisme est en train de se normaliser (au moins dans les idées), détruire le féminisme de l'intérieur, et s'imposer dans tous les endroits "women only"... il existe donc un mouvement profondément réactionnaire et violent qui s'impose partout par la force et la haine pour défendre les idées les plus réacs au nom de l'inclusion et du respect des minorités". Un combat, juste, détourné pour faire taire le féminisme. C'est grave et inquiétant.
Et pourtant c'est ensemble que nous devions défendre nos droits et pas en s'opposant : autant les femmes que les personnes transgenres. Le droit de vivre libre, en adéquation avec ce que nous sommes, sur un terrain égalitaire. ça ne peut pas passer par la violence, par le rejet, par l'agression.
https://www.youtube.com/watch?v=yVzodw938c4
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Par Pestoune le 8 Avril 2021 à 20:55
Un grand nombre de trans regrette leur démarche et souhaite inverser le processus Vient pour eux un temps de troubles divers Le corps se déshabitue de la testostérone et les œstrogènes prennent le relai. C'est vraiment très douloureux, perturbant. De plus ils n'ont aucun soutien pour leur santé mentale.
De plus ces personnes (appelées détransitionneurs) deviennent la cible de leurs anciens amis qui les accusent de traîtrise, d'être devenu des transphobes. C'est un climat extrêmement violent.
Hélas nous avons peu d'informations sur la détransition D'abord parce que ceux qui choisissent de faire marche arrière sont peu ou pas suivis, puis en raison d'une omerta.
Quelques témoins évoquent leur vécu douloureux et leurs difficultés. Mais l'espoir demeure.
Il y a tellement de souffrances dans ces histoires, tellement d'incompréhension mais aussi tellement de manipulation et de récupération
Si comme moi vous ne pratiquez pas l'Anglais, vous pouvez activer les sous-titres en Français
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Par Pestoune le 7 Avril 2021 à 20:55
Dans ce second volet, on aborde l'aspect médical. On découvre comment certains médecins administrent des traitements stoppant la puberté à des adolescents de plus en plus jeunes. Des traitements destinés à l'origine à soigner le cancer de la prostate mais qui servent aussi de castration chimique aux grands délinquants sexuels avec pour indication de ne pas administrer plus de 6 mois en raison des effets secondaires graves Or les jeunes les prennent sur le long terme avec des effets graves et irréversibles.
Selon le Pr Christopher Gillberg (Professeur en Psychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, Université de Göteborg, Suède) expert de renommée mondiale dans l’autisme, les traitements hormonaux et chirurgicaux effectuées sur des jeunes femmes qui veulent devenir des hommes constituent l’un des plus grands scandales sanitaires de l’histoire.
Si comme moi vous ne pratiquez pas l'Anglais, vous pouvez activer les sous-titres en Français
https://www.youtube.com/watch?v=S3dbikSgvR4
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Par Pestoune le 6 Avril 2021 à 20:55
Dysphoric" est une série documentaire en quatre parties sur la montée de l'idéologie de l'identité de genre, ses effets sur les femmes et les filles - en particulier dans les pays en développement.
Dans ce monde dystopique où la misogynie est endémique et où la féminité est une marchandise, être une femme a un coût. Les entreprises capitalisent sur le corps des femmes en brouillant les limites du sexe biologique et en tirant profit de la pseudo-science non vérifiée sur le plan empirique de la théorie queer. Cet éclairage est facilité par la complicité des médias, du monde universitaire, juridique et politique. Il n'est pas surprenant que les jeunes filles fuient la féminité comme une maison en feu.
Au cours de la dernière décennie, le nombre de jeunes filles cherchant à changer de sexe en subissant des procédures irréversibles et dangereuses pour leur vie a fortement augmenté. Dysphoric" est une série documentaire en quatre parties sur la montée de l'idéologie de l'identité de genre et ses effets sur les femmes et les filles, en particulier dans les pays en développement.
Le film explore la transition de genre, les effets secondaires médicaux permanents des hormones et des opérations chirurgicales, la propagande des entreprises "réveillées" qui glorifient des milliers de présentations stéréotypées du genre fusionnées dans la mode, une montée en puissance de la police des pronoms, le détournement du langage qui appelle les femmes "menstruatrices", et les nombreux obstacles auxquels les femmes sont confrontées lorsqu'elles tentent de remettre en question cette misogynie moderne. Le film amplifie les voix des transsexuels, des cliniciens, des psychiatres, des sociologues, des féministes, des universitaires et des citoyens concernés.Si comme moi vous ne pratiquez pas l'Anglais, vous pouvez activer les sous-titres en Français
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