• Produits phytopharmaceutiques : une contamination généralisée

     

    Une expertise sur les impacts sur la biodiversité de cette pollution menée par l’Inrae et l’Ifremer, deux organismes publics, spécialistes respectivement de l'agriculture et de la mer, vient justement de rendre publics ses résultats

    Les produits phytopharmaceutiques correspondent à ceux commercialisés pour protéger les cultures de différents ravageurs (insectes nuisibles ou mauvaises herbes). Cette expertise scientifique collective est un travail important réunissant 45 chercheurs qui ont analysé plus de 4.000 articles scientifiques à ce sujet. 

    Et le résultat, résumé par Wilfried Sanchez, co-pilote de l’expertise et directeur scientifique adjoint de l’institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer), est sans appel : « l'ensemble des milieux sont contaminés, qu'il s'agisse des sols, du compartiment atmosphérique ou des milieux aquatiques, d'eau douce ou d'eau marine. Cette contamination est essentiellement à proximité des lieux d'utilisation de ces produits phytopharmaceutiques, plus communément appelés pesticides, et donc en particulier dans les zones agricoles. »

     

    Ecoutez le podcast d'une durée de 4 mn

    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/les-savanturiers/les-savanturiers-du-samedi-14-mai-2022-4957839

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  • Faut il réellement désherber ? Utilité de ne rien faire ou pas grand chose

     

    Les adventices ont de l’intérêt dans le jardin. Comment obtenir un jardin naturel ? 

    Ou de l'intérêt de garder diverses plantes sauvages ou ensauvagées qui poussent spontanément chez vous.  La notion de mauvaises herbes ou jardin sale lorsqu'il y a des herbes ou plantes qui s'installent, est une notion obsolète. Un jardin quelque peu sauvage est beau et procure un abri à bien des insectes qui vous seront utiles. 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=tCwicTOPIgc

     

     

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  • L'épopée des négociations climatiques

     

    Un des dernier volet du rapport du GIEC a été décrit comme un "atlas de la souffrance humaine"... Une souffrance très inégalement répartie.  Ce sont les pays les plus vulnérables, qui seront les plus impactés par les conditions climatiques extrêmes (sécheresse, cyclone...) alors que ce sont eux qui sont le moins responsable des émissions des gaz à effet de serre. Où est la justice climatique qui veut le partage équitable des efforts pour le climat. Ce qui n'est pas le cas. 

    Alors comment en est-on arrivé là ? Les négociations climatiques devaient permettre d'aboutir à des objectifs contraignants de réduction d'émissions, basées dans un juste partage des efforts pour le climat entre pays ? Alors qu'est-ce qui a foiré ? Pour y voir plus clair, on va remonter dans le temps, et refaire l'histoire des négociations climatiques, de Rio à Paris, en passant par Kyoto et Copenhague.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=YVtW5d94KN0

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  • Biodiversité et pesticides, pourquoi on a tout faux | Pierre-Henri Gouyon | TEDxLannion

     

    Pierre-Henri Gouyon est ingénieur agronome, docteur en écologie et en génétique, formé à la philosophie et à l’histoire des sciences. Il a enseigné au Muséum National d’Histoire Naturelle, à AgroParisTech, Sciences Po, l’école Polytechnique et l’école Normale Supérieure. Ses travaux de recherche portent sur l’évolution, la génétique, l’écologie et la biodiversité. Impliqué dans les débats concernant les relations entre sciences et société, il a notamment présidé le Conseil Scientifique de la Fondation Nicolas Hulot. 

    Quand l'intérêt économique va  à l'encontre de la biodiversité. 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=dLQKs1KBw9Y

     

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  • Faut-il laisser brûler ces forêts ? - DBY #83 - YouTube

     

    Nous avons l'impression que les feux sont de plus en plus nombreux alors qu'en réalité, c'est l'inverse. Il y a aujourd'hui moins de feux annuellement qu'avant l'ère industrielle. Les feux de forêt ont une utilité écologique. Certaines essences tels les Sequoias et les eucalyptus ont besoin de feux pour que leurs graines puissent germer. Bref, ils sont nécessaires pour l'écosystème. 

    Alors faut-il cesser de les éteindre ? Faut-il en déclencher volontairement en les gérant au mieux ?  Le court documentaire qui suit, va vous en dire davantage.  

     

    Et pour ceux qui préfèrent lire, voici cet article du National Geographic 

    https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/05/faut-il-laisser-les-forets-bruler

     

     

    https://www.youtube.com/watch?v=RzuyL3LEROQ

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