• " Frères humains, vous qui longtemps après nous vivrez, n'ayez pas contre nous trop de courroux."   François Villon.

     

    http://www.dailymotion.com/video/xdfdrc_complot-mondial-contre-la-sante-cla_news

     

     

     

     

    Les très puissantes industries de chimie, biotechnologie, agro-alimentaire et médico-pharmaceutique se créent un pactole monumental au détriment de notre santé. Une fois de plus l’argent a plus de valeur qu’une vie et pourtant comme on dit au fond des campagnes : on n’a jamais vu un coffre-fort suivre un cercueil.

    Nous constatons tous l’augmentation dans notre entourage des cas de cancers. Pire on dénombre 8 500 de cas de cancer en plus en 4 ans chez les enfants ! Actuellement, 1 enfant sur 440 aura le cancer avant l’âge de 15 ans, dont la moitié avant d’atteindre 5 ans ! Pourtant, un enfant n’a jamais autant reçu de soins, de vaccins, de médicaments depuis que le monde existe ! Tout cela ne doit rien au hasard. Notre santé est en danger et cela représente un marché juteux. Toutes ces multinationales précitées font les choux gras de cet état.

    Hélas nous n’avons pas de moyens d’agir contre ces manipulations sinon de les dénoncer pour alerter les populations. Je ne suis pas d’accord sur toute l’analyse de Claire Séverac notamment lorsqu’elle parle de l’inutilité des vaccins (il est vrai malgré tout que les adjuvants de ces mêmes vaccins sont dangereux et souvent mystérieux) mais son étude représente un travail colossal, des mois d’enquête, des milliers de dossiers compulsés. Elle fournit les preuves tangibles et vérifiables des déviances de ces multinationales. Elle dénonce sans concession dans son livre polémique un véritable scandale, une guerre d’intérêts où nous ne sommes que des pions.

    L’histoire toute récente du Médiator n’est que la partie émergée de l’iceberg. Le problème est que tous ces produits chimiques mis sur le marché, qu’il s’agisse de médicaments, pesticides, additifs alimentaires, sont censés être contrôlés par des organismes indépendants. Or les experts de ces autorités ont trop souvent des intérêts personnels avec les multinationales chimiques. En cas de conflits d’intérêts, nous savons tous, que c’est le plus payant qui gagne.

    Des affaires éclatent parfois au grand jour mais curieusement les médias ne disent pas tout voire taisent les informations sur ces scandales sanitaires. Pourquoi ? Simplement parce que des budgets publicitaires dépendent la possibilité de faire leur travail. Or qui financent ses budgets ? Des actionnaires ayant des intérêts croisés entre les laboratoires pharmaceutiques et les chaînes de télé. D’ailleurs  à ce propos, avez-vous constaté la recrudescence des publicités pour des médicaments ?

     

     

    Dérives des industries pharmaceutiques

     

    Plusieurs affaires concernant notre santé en devenir ont été découvertes, parfois étouffées ces dernières années.

    Une  constatation semble émerger à chaque nouveau scandale dans le domaine des laboratoires pharmaceutiques.  Des essais paraissent avoir été bâclés, des résultats tronqués, trop d’argent est en jeu. Et en contrepartie, des dizaines de principes actifs dorment dans les tiroirs, sous prétexte que cela ne rapporterait pas assez aux labos pour financer et amortir les travaux. Et pourtant ces mêmes laboratoires ont un chiffre d’affaires représentant 400 milliards de $ par an soit le double du budget annuel de la France.

    Des anomalies médicales, il y en a des exemples à foison. Le premier exemple dont je vais vous parler, touche les enfants.

    Le professeur Biederman de l’université d’Harvard invente les troubles de bipolarité chez les enfants (déficit de l’attention avec hyperactivité). Il soutient mordicus que ces recherches sont indéniables, entreprend de soigner des enfants avec des psychotropes au grand dam de psychiatres qui trouvent que les recherches de Biederman ne reposent sur rien de sérieux en tout cas rien de tangible. Scandale, une fillette de 4 ans décède d’un surdosage de ces mêmes médicaments dans le service de Biederman. Après une enquête on découvre que Biederman à reçu 1,5 millions de dollars des laboratoires pharmaceutiques : les ventes des psychotropes Seroquel, Zyrexa et Rispédone ont explosé depuis les recherches de Biederman.

    (…Le sénateur (Charles Grassley) s’est notamment penché sur le cas de Joseph Biederman, professeur de psychiatrie à l’université Harvard et directeur du département de psycho-pharmacologie pédiatrique du Massachussetts General Hospital à Boston. Pourquoi avoir jeté son dévolu sur ce psychiatre plutôt qu’un autre ? Parce qu’il s’est fait largement connaître, ces dernières années, comme le défenseur acharné de la notion de "trouble bipolaire infantile précoce" (pathologie qui serait d’après lui identifiable dès l’âge de deux ans) et du traitement de celui-ci par diverses associations de médicaments, dont la plupart n’ont pas été approuvés par la FDA dans une telle indication, du moins aucun chez l’enfant en bas âge. Ceci alors que les essais thérapeutiques publiés par Biederman sont, de l’avis de nombreux experts, par trop restreints et discutables méthodologiquement pour qu’il soit permis d’en tirer toute conclusion fiable. Et qu’il a fini par arriver ce qu’il devait arriver : le décès, à Boston en décembre 2007, d’une fillette de quatre ans victime d’un surdosage en clonidine prescrite par la consultation du service Biederman pour trouble bipolaire précoce.

     

    Au mois de juin 2008, les investigations du sénateur Grassley ont donc révélé que Biederman avait perçu 1,6 million de dollars entre 2000 et 2007 en tant que "consultant" ou "conférencier" pour une bonne quinzaine de compagnies pharmaceutiques, au premier rang desquelles, on s’en doute, celles qui commercialisent les molécules indiquées par lui dans le trouble bipolaire de l’enfant. Biederman ne représente nullement un cas isolé ; deux de ses collègues ont perçu des montants comparables…   

    source : http://www.neuropsychiatrie.fr/numero-article.asp?pId_art=575&pId_num=42)

     

    Le D’ Peter Breggin, psychiatre, dans son livre : « Nos enfants, cobayes de la psychiatrie », affirme que l’hyperactivité est une maladie inventée. Voici le lien où vous pourrez lire son témoignage devant le congrès américain au mois d’août 2006 :

    http://psychotrope.canalblog.com/archives/2006/08/30/2567325.html

     

    Autre pratique des laboratoires pharmaceutiques dont on ne parle pas : changer les noms des médicaments afin de les prescrire à un coût beaucoup plus important pour soigner d’autres pathologies que celles initialement prévues.  Ainsi l’antidépresseur Cymballa devient Yentrène et soigne les troubles urinaires,  L’antidépresseur Welbutrim est devenu Zyban et est prescrit pour le sevrage tabagique. Le plavix est vendu 27 fois plus cher que l’aspirine.

    Des recherches sont faussées pour promouvoir l’utilisation de certaines molécules comme vous pourrez le lire dans l’article suivant :

    http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/07/21/scandale-medicaments-hypertension-industrie-pharmaceutique/

     

    De quoi mettre notre confiance en doute. La médecine est prisonnière du lobby pharmaceutique à l’insu de la majorité des médecins. Ainsi Big pharma (la toute puissante industrie pharmaceutique) finance l’OMS bien plus que les 194 pays y adhérant, elle finance aussi la formation continue des médecins ainsi que l’AFSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé) devenue l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) à hauteur de 83 %. Big pharma dépense aussi 25000 € par médecin

    Dans ce cas on peut douter de la possibilité d’une indépendance médicale vis-à-vis de ce lobby.

    http://www.usinenouvelle.com/article/big-pharma-un-pamphlet-violent-mais-etaye-contre-l-industrie-pharmaceutique.N204143

    La revue « Prescrire », qui est connue pour son indépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique, dénonce en 1999 le fait que 80 % des médicaments prescrits n’ont aucuns effets.

    N’oublions pas non plus, les affaires du sang contaminé, celles des hormones de croissances prélevés sur des malades atteints de Creutzfeld-Jacob alors que dès 1974 des professeurs éminents tirent la sonnette d’alarme.  Rajoutons à cela les paniques créées afin que les gens se vaccinent en masse : la grippe H1N1 (breveté avant que n’éclate la présumée mais pandémie fantôme) puis la mise à disposition rapide du Tamiflu (sans le moindre test clinique) qui à largement permis à Donald Rumsfeld de rentabiliser l’investissement dans les actions sur le Tamiflu soit 5 millions de $, le même Rumsfeld qui a appuyé de tout son poids politique en 1981 pour faire valider l’aspartame malgré les symptômes neurotoxiques détectés chez les consommateurs.

    Rappelons-nous aussi la psychose de l’anthrax après le 11 septembre 2001 om la panique a été savamment organisée afin que les gens se ruent pour acheter antibiotiques et vaccins.

     

    Dans le domaine agro-alimentaire et chimique :

     

    Je viens de citer l’aspartame qui fut interdit dans un premier temps avant qu’un certain Michaël Taylor ancien de Monsanto avant de devenir député à la FDA (Food and Drugs Administration), l'agence sanitaire des États-Unis ne balaye toutes les études faites. Et pourtant 80 études sur 93 démontrent la dangerosité de l’aspartame et provoque dépressions, troubles de l’humeur, maladie de Parkinson… et au-delà de 30°, il se transforme en poison pour notre cerveau et provoque tumeurs et cécité...

    On a prouvé que les rats nourris aux OGM développaient un cerveau, un foie, des testicules plus petits et pourtant ils sont autorisés dans de nombreux pays. Bien qu’interdit en France, rien n’empêche de les importer.

    L’aluminium présent dans la nourriture industrielle, dans les cosmétiques provoque dépressions, maladie de Parkinson, Alzheimer et autre troubles cérébraux.

    Le bisphénol A est reconnu toxique par le ministère de la santé américain et pourtant est classé sans danger par la FDA.

    RoundUp, Glyphosate, leur dangerosité est prouvée par des études indépendantes mais l’AFFSSA (financé à 93% des industriels) refuse qu’ils soient retirés du marché.

     

     

    Même la FAO l’organisation mondiale pour l’alimentation a perdu son indépendance.  Elle se bat contre la précarité alimentaire.  Pour ceux jusqu’en 2004, elle appliquait les directives de l’agriculture intensive et reçoit des financements des industries pétrochimique Monsanto, Bayer. Avec ces aides, la FAO achète des engrais, des pesticides, des semences (Monsanto et Bayer) puis elle les distribue dans les pays du tiers monde. Mais en 2007, la FAO affirme dans une conférence à Rome que l’agriculture biologique à grande échelle pourrait nourrir la planète. La conséquence immédiate a été la coupure des aides de Monsanto et Bayer. Toute l’agriculture est infiltré par ces cartels pétro chimique qui vendent engrais, pesticides, semences OGM ou non reproductible. Le tout à grand renfort de publicité de porte à porte chez les agriculteurs depuis 60 ans pour leur faire changer leur mode de production, leur faire accepter les pesticides, les engrais, de faire des emprunts pour développer leur exploitation, de vendre leur production à des centrales d’achats plutôt que de vendre sur les marchés etc… bref, les paysans sont pris dans un piège qui s’est refermé sur eux à tel point qu’en France chaque semaine, un paysan se suicide face aux dettes qui l’accablent . Le naturel est hors la loi, le purin d’ortie interdit à la vente… les lobbys imposent aux petits agriculteurs des normes de plus en plus compliquées.

     

     

     

     

    Conférence complète de Claire

    http://www.dailymotion.com/video/xhywlq_llp-complot-mondial-contre-la-sante-avec-claire-severac-1er-avril-2011-a-marseille_news

     

    Conclusion :

     

    J’écrivais au début de l’article : « Hélas nous n’avons pas de moyens d’agir contre ces manipulations »… quoique. Et si quelque part nous étions tous responsables ? On se gave de popcorn, de viennoiseries, de sucreries, on s’abreuve avec ces sodas dont la composition chimique est un grand secret, on s’approvisionne dans les supermarchés, on emballe tout ça dans des sacs plastiques, on traite les jardins aux pesticides moins fatigant que de faire son purin d’ortie, on s’auto-médicamente ou se surmédicalise au moindre bobo, on ne supporte plus les difficultés et a besoin d’artifices pour tenir le coup… Nous pouvons tous mieux faire et être éco-citoyens en devenant écoresponsables.

    Je crois qu’il est indispensable que nous sachions tous la façon occulte dont on nous manipule afin que nous puissions être plus vigilant et peut être donner une chance à la médecine de reprendre son indépendance vis-à-vis de ces laboratoires.  Nous avons la chance d’avoir une bonne médecine, des réelles avancées ont eu lieu, la vie de l’homme s’en trouve amélioré. Il est utopique d’attendre de la médecine de tout guérir mais au train où vont les choses, elle finit par nous rendre plus malades encore.

    Entre indépendance médicale, vigilance personnelle, information pour savoir reconnaître les dangers, peut être pourrons-nous malgré tout influer sur notre avenir.

     

    Mais comment ces industriels ne voient-ils pas le danger pour la planète, pour l’homme, y compris pour les leurs ?

    Une réponse me vient à l’esprit inspiré par Inferno de Dan Brown : le malthusianisme qui prône une régulation des naissances par tous les moyens chez, évidemment les plus faibles et les plus pauvres, une forme d’eugénisme.  D’ailleurs le président de la Banque Mondiale Robert Mac Namara ne s’en cache pas : 

       "  Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment, par des moyens naturels : la famine et la maladie."

    (Citation du 3 février 1987 dans « j’ai tout appris n° février 1997, éditions Machiavel.)

     

    Et oui, certains décérébrés prônent réellement la dépopulation mondiale comme ces fous de Mac Namara, David RockFeller, Rumsfeld, Dick Cheney, Paul Wolfowitz pour continuer à bien contrôler le système monétariste capitaliste qui leur échappe.

     

     

    L'industrie pharmaceutique qui finance (ou sponsorise) la recherche, la formation des médecins et le contrôle des médicaments avant la mise sur le marché... ça ne vous interpelle pas ?

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  • Destino est un film d'animation franco-américain de Dominique Monfery, issu d'une collaboration inattendue entre Walt Disney et Salvador Dali. Il fut d'abord ébauché lors de la rencontre entre les deux hommes, qui se vouaient une admiration réciproque en 1945. Pendant 8 mois, tous les jours, le peintre arrive  dès 8h30 dans les studios Disney et travaille d’arrache-pied jusqu’au soir en compagnie de John Hench, dessinateur et concepteur chez Disney. Dalí produit des dizaines et des dizaines de croquis, d’esquisses… qui malheureusement, ne seront jamais utilisés. Le projet sera finalement abandonné... jusqu'en 1999 où il ressort des cartons des studios Disney grâce au neveu de Walt Disney. De la rencontre initiale, il y a 18 secondes d'animation, avec le story board, les cahiers de Dali, une équipe de 25 personnes s'efforce de mener à bien ce projet.  Achevé en 2003, il n'eut hélas pas la sortie commerciale que ce court métrage méritait, et pourtant c'est un véritable petit bijou.

    Destino, C'est le destin tragique de Chronos, dieu grec du temps, désespérément amoureux d’une mortelle, le tout sur fond d’une ballade mexicaine du même nom d’Amando Dominguez.

     

    http://www.youtube.com/watch?v=1GFkN4deuZU

     


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  • En 1874 ; à Washington, le président américain Grant accepte dans le plus grand secret la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer milles femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien. Accompagné d'une délégation d'hommes de sa tribu, le " chef et grand homme-médecine " cheyenne Little Wolf entreprit de traverser les terres américaines jusqu'à Washington pour négocier une paix durable avec les Blancs. Le Chef alla droit à l'essentiel : " A cause du mal que vous avez apporté avec vous nous sommes maintenant peu nombreux. Le peuple disparaîtra bientôt comme les bisons de notre pays. C'est pourquoi nous avons l'honneur de demander le présent de mille femmes blanches. Nous les épouserons afin d'apprendre, à nous et à nos descendants, la vie nouvelle qu'il nous faudra mener quand le bison aura disparu. En échange des mille femmes blanches que vous nous confierez nous vous donnerons mille chevaux ".

    Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart des « Mille femmes » viennent en réalité des pénitenciers et des asiles. On leur offrit l'absolution ou la liberté sans condition, sous réserve, bien sûr, de s'enrôler. Au début de mars 1875 des convois semblables quittèrent les gares de New York, Boston, Philadelphie et Chicago. 

    Parvenue dans les contrées reculées du Nebraska, l’une d’entre elles, May Dodd 25 ans, apprend alors sa nouvelle vie de squaw et des rites inconnus des Indiens. Les journaux intimes de May, retrouvés à la réserve indienne de Tongue River, au sud-est du Montana, témoignent de son aventure parmi les Cheyennes.

     

    " Aujourd'hui je m'apprête à tourner le dos à un passé sombre et agité, pour faire place à un avenir terrifiant, incertain.

    Ma famille m'a placée dans un asile d'aliénés parce que je l'ai quittée pour vivre hors des liens du mariage avec un homme qu'elle considérait d'un rang inférieur au mien. Ils m'ont arrachée à lui et à mes deux enfants.

    Aujourd'hui le prix à payer pour échapper à l'enfer quotidien de l'hôpital me semble relativement modeste. C'est ainsi que nous avons entrepris ce long voyage. Ce pays extraordinaire qui défile sous mes yeux j'en subis la fascination, la solitude, la désolation. Après le long confinement que j'ai enduré, le spectacle d'une telle liberté me paraît plus merveilleux encore… »

    Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool.
    Aux côtés de femmes de toutes origines, May Dodd assiste alors à la lente agonie de son peuple d’adoption…

     

    Ce roman tire son origine une histoire vraie : la demande le Little Wolf de procéder à un échange : 1000 femmes blanches  contre 1000 chevaux, il faut savoir que le cheval dans le peuple cheyenne a une valeur économique considérable. L'objectif de cet échange est l'intégration du peuple indien dans la société blanche. L’histoire vraie s’arrête là. Offusqué le gouvernement et le peuple américain refuse la proposition. Mais Jim Fergus raconte dans son roman ce qu’il aurait pu se produire si le gouvernement avait accepté. Ce livre dénonce la politique du gouvernement d'alors vis-à-vis de ceux qu'il considérait comme des « sauvages ». Par le biais des journaux intimes de May Dodd, il présente d'un point de vue féminin le peuple indien, leur naïveté qui les a perdus.

    J’ai aimé ce livre. Je me suis mise dans la peau de May Dodd, vécu l’évolution de ses sentiments au fil de la rencontre, ressenti cette affection pour ce peuple d’hommes purs et naïfs… Un roman formidable qui a connu un beau succès amplement mérité.

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  • http://www.youtube.com/watch?v=x-d9HkWQLTw

     

     

    Comme te dire qui je suis
    J'ai pas écrit d'une autobiographie
    Je viens d'un pays étrange où les gens s'aiment et se déchirent
    Et sont capables du meilleur comme du pire
    Je suis né sur une petite orange bleue
    Au milieu d'un monde immense et silencieux
    Et elle tourne et elle tourne, petite orange bleue
    Entourée d'étoiles et d'un ciel mystérieux

    Et elle m'attire
    J'aime bien son genre d'atmosphère
    Faut que je respire
    Si elle étouffe je manque d'air
    Je veux pas qu'elle tourne mal
    C'est ma terre
    Ma place dans l'univers
    C'est ma terre
    Moi son grain de poussière

    C'est pas l'Eden, cette petite orange bleue
    Mais c'est pas l'enfer, c'est peut être un peu des deux
    Mais moi je l'aime, ma petite orange bleue
    C'est là où je vis
    C'est là que je respire le mieux

    C'est ma terre
    Mon histoire, mon mystère
    C'est ma terre
    Moi son grain de poussière

    Qu'on m'enterre par devant sa lumière
    Revoir mon frère, redevenir poussière

       


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    Pedro Reyes est un artiste mexicain. Il travaille en créant une relation entre l’architecture, l’environnement et les liens sociaux autour de l’espace public et tous les arts et moyens sont mis au service de son message de paix et écologique : dessins, sculptures, installations et structures architecturales modulaires, vidéos et films d’animation. À travers ses œuvres, il met en relation le public et les lieux.

    Depuis 2008, l’artiste a tourné son engagement artistique dans la lutte contre la criminalité dans son pays. La dimension sociale et écologique de son travail est tout particulièrement présente dans son projet Palas por pistolas. La population de Culiacàn, une ville connue pour son haut taux de mortalité par arme à feu, est invitée à rendre des armes qui sont fondues dans une usine locale pour être transformées en pelles : les 1527 pelles ont chacune servi à planter un arbre. Son combat continue.

    http://www.youtube.com/watch?v=rsKaxgx2Hnw

     

     

     

    Le gouvernement de l’Etat de Sinaloa lui donne des morceaux découpés de 6700 armes : revolvers, fusils de chasse, mitrailleuses… Il les assemble et invente avec  50 instruments de musique qu’il a confiés à un groupe de 6 musiciens. Les armes de mort de narcos mexicains transformées en instruments de vie pour en extraire des sons de qualité, un défi qu’on relevé ces musiciens.

     

    http://www.youtube.com/watch?v=kBiRE22y_QM

     

     

    Et quel message plus éclatant que d’interpréter la chanson mythique de John Lennon : « Imagine ». Cette opposition entre armes et le message de la chanson est un signe d’espoir de paix  très fort. Dans ce clip, nous voyons aussi le travail de fabrication des instruments

     

    http://www.youtube.com/watch?v=rgMW2VuGItM

     

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