• Manger local

     

    Vivre une vie saine, avec la nature mais aussi avec l'être humain, voici un objectif qu'ont de plus en plus de jeunes. Mais ce n'est pas suffisant.

    Aujourd'hui privilégier le circuit court est essentiel.

    Acheter des produits locaux, c'est oeuvrer pour le bien de la planète. 

    Consommer des produits pas ou peu transformés est un atout santé.

    Acheter auprès des éleveurs, cultivateurs, maraîchers,  artisans de proximité favorise l'économie locale. 

    Et cela sans compter le lien social que créé la rencontre entre consommateurs et producteurs. 

    Le problème est de savoir où sont ces producteurs dans nos régions. 

    Dans la vidéo qui suit, nous écoutons un membre de Permavenir, manger local en Belgique qui nous explique comment il travaille avec d'autres dans une nouvelle éthique collaborative mais aussi il nous parle de la nécessité de donner de la visibilité aux producteurs locaux. Pour ce faire ils ont créé une application permettant aux Belges de savoir où s'adresser pour faire leurs achats : 

    https://www.mangez-local.be/fr 

     

    Une initiative de la même veine en France avec Acheter à la source

    https://www.acheteralasource.com/vente-directe-producteur

     

    L'intérêt est aussi de pousser de plus en plus d'exploitants, de producteurs à oeuvrer dans ce sens et à franchir aussi le pas vers le tout naturel. 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=n16MeDD7ukg

     

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  • Film environnement

     

    Film grand public de sensibilisation au traitement des eaux

     

    https://www.youtube.com/watch?v=Nv8YIOarlcQ

     

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    L'équilibre de la vie : la pollution l'écologie

    " Ce documentaire nous parle des profondes mutations que l'homme a fait subir à son environnement, mais aussi de la création de la Stratégie Mondiale de la Conservation, et des règles qu'il faut observer si nous voulons conserver notre planète vivante"

     

    https://www.youtube.com/watch?v=aG6gFdbGyF0

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  • Vénérable Dame,

    Je vous écris, sachant qu’à la fin de cette lettre une autre partie de vous sera déjà consumée. Il est sans doute bien tard, mais je préfère m’adresser à vous tant que vous existez encore. Car aussi impressionnant que soit le feu qui vous dévore en ce moment, aussi loin que peuvent s’étendre les chiffres des kilomètres carrés dans les colonnes des médias, nous savons bien, vous et moi, que ce n’est là que le début. Et que dans ce craquement et ces cris du vivant calciné, c’est la naissance d’un nouveau monde qui s’annonce.

     

    Il y a peu, une autre vieille dame brûlait de ce côté-ci de l’océan. Aujourd’hui elle ne sonne plus. Elle, chef d’œuvre d’humain que nous avons cru éternel, Vous, chef d’oeuvre naturel que nous avons cru notre propriété. L’Histoire et la Nature grondent contre les hommes. Devant la cathédrale, nous assistions à la destruction accidentelle de notre oeuvre. Devant vous, nous assistons à la destruction consciente et criminelle de ce que nous avons cru notre oeuvre. Car derrière chaque arbre, chaque fleur, chaque animal calciné, il y a le geste tout à fait banal d’un homme sortant du travail et courant au supermarché s’acheter un steak nourri au soja, il y a la femme qui regrette qu’ils ne vendent pas que des ailes de poulet ensemble car c’est ce que les enfants préfèrent. Il y a les yeux de nos ados s’allumant devant le pot de pâte à tartiner qui décime d’autres forêts tropicales. Ils ont entendu parler, mais après tout, un pot de plus ou de moins… Il y a tous ceux qui vont s’acheter du papier toilette molletonné tout doux pour nos fesses fragiles qu’il n’est pas question de laver à chaque défécation, et qui vaut bien que vos cousines les forêts boréales elles aussi soient décimées. Il y a tout ce qui est normal et qui nous constitue. Il y a aussi tous ceux qui posteront des émoticônes enragés devant les images de votre destruction. Il y a sans doute en fait, chacun de ceux qui sont en train de lire cette lettre.

     

    PORTO VELHO, RONDÔNIA, BRAZIL. Crédit : Victor Moriyama / Greenpeace

     

    Comme Notre-Dame, vous êtes un symbole. Et les humains ont besoin de symboles. Ils ont besoin du spectacle grandiose de l’horreur qu’ils créent et contre laquelle chaque individu consommateur, insignifiant et entièrement responsable, sait qu’il ne peut rien faire. On parlera donc de votre incendie plutôt que d’autres, comme on parle de certains génocides ou de certaines guerres et que d’autres restent dans le silence. L’homme est ainsi fait : il sélectionne, il trie, il tait. Regarder en face toutes les forêts qui brûlent, tous les océans et les rivières qui asphyxient, toutes les espèces qui disparaissent sous terre, dans les profondeurs, dans les airs, près de nous, nous rendrait fous. Ne pas le faire nous permet de prolonger ce mode de vie insensé qui est le nôtre. À choisir entre deux folies, préférons la plus confortable.

     

    Lire la suite ici

     

     

    Ces images vont vous donner envie de sauver l'Amazonie

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    L'Homme, destructeur de la Terre

    De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la détérioration continue de la planète. Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.

    Documentaire de Jean-Robert Viallet

     

    https://www.youtube.com/watch?v=4LToxHsxJso

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