Pan Xiao Ling est une artiste autodidacte qui a commencé à peindre à l'âge de seize ans. Elle est originaire du village agricole de Huxian, au centre de la Chine. Elle a été influencée par la vie de village et l'art moderne. Elle est membre de l'Association des artistes chinois, membre de l'Association des artistes du Shaanxi, vice-présidente de l'Association des peintres paysans du Shaanxi, vice-présidente de l'Association des peintres paysans de Huxian et représentante du Congrès populaire de la province du Shaanxi.

Au cours des 40 dernières années, Pan Xiao ling a créé plus de 500 œuvres d'art. Ses peintures sont fraîches et pures, poétiques et pleines d'une atmosphère rustique. Ses œuvres ont remporté le premier prix au niveau national et les premier et deuxième prix au niveau provincial, et plus de 10 d'entre elles ont été collectionnées par le Musée national d'art de Chine et les musées d'art provinciaux.

L'une de ses oeuvres intitulée "Green Home", a été imprimée comme timbre par la poste nationale, et une carte postale spéciale de la peinture des agriculteurs du comté de Huxian a également été publiée.

L'œuvre "Chinese Zodiac Signs" a été imprimée sous forme de série de 12 timbres internationaux par l'Association philatélique internationale en 2010 ;

En 2010, le Centre international de certification de la planification lui a décerné le titre de "Master of Folk Arts and Crafts".

La peintre s'est rendue à de nombreuses reprises aux États-Unis, à Singapour, au Japon, en Malaisie et dans d'autres pays. Elle a organisé avec succès des expositions personnelles de ses œuvres, qui ont été largement relayées par les médias nationaux et étrangers.

Des oeuvres colorés, témoignant du quotidien mais dont nous avons hélas peu d'exemples à admirer.  Néanmoins les quelques unes que l'on peut voir me touchent infiniment, j'aime cet univers de couleurs et de vie. 

Pour présenter cet artiste, je laisse la parole à P. Hugli : 

Albert György est né en 1949 à Lueta, en Roumanie (Transylvanie, région à minorité hongroise). La carrière du sculpteur est marquée par une double aventure humaine et artistique, qui a toujours été une sorte de tension entre des aspirations contraires.

En effet la minorité hongroise est victime de discrimination. Cela ne l'empêche pas de suivre l'enseignement artistique officiel, de remporter de nombreuses distinctions, de faire des expositions nationales et internationales. A la fin de ses études à Bucarest, il a pu revenir s'installer à Satu-Mare, où l'air est un peu plus respirable.

Il crée sa propre fonderie, pour obtenir la meilleure qualité de bronze. Mais malgré ses voyages à l'étranger pour ses expositions : Varsovie, Berlin,  ex-Yougoslavie,  Chili, il vit dans l'isolement, la tristesse. Sa première femme meurt, il n'a plus aucun lien avec la Roumanie. Il profite d'une exposition à Genève pour s'installer en Suisse. C'est le deuxième versant de sa vie. Il va enfin pouvoir profiter de la liberté.

C'est un nouveau départ, difficile mais fulgurant. Son métier, il le connaît à fond. Il pratique le bronze mieux que quiconque. Il a mis au point un alliage personnel de cuivre et d'étain qui permet d'obtenir un bronze à la fois souple et solide, créant des nuances étonnantes de la patine lorsqu'elle est oxydée, et d'une couleur brillante lorsqu'elle est polie.

Si son style évolue avec sensibilité, parce que sa vision est amplifiée, décantée, libérée des contraintes. En Roumanie, il pouvait se comporter en artiste audacieux, mais ses œuvres reflétaient le poids de la vie, du passé et aussi des influences diverses : les plus fécondes comme celles de Brancusi et Moore, et puis celles, lourdes, du milieu.

En Suisse, après une période d'adaptation, son art se tourne résolument vers l'avenir. De la figuration stylisée et de l'orfèvrerie, son langage sculptural s'oriente vers le monumental, vers l'architecture.

L'œuvre d'Albert György illustre la tension entre le caractère et l'émotion. Rien n'est acquis, rien n'est automatique, la création est une lutte, tant matérielle que spirituelle. Si ses œuvres reflètent aujourd'hui un nouvel élan, elles restent marquées par un tempérament pathétique, par une sensibilité ardente. Celle-ci est sans doute plus attentive, aujourd'hui, aux énergies vives de notre temps, captées et réfléchies avec acuité.

Mais le matériau apporte le noble témoignage de l'unité à la démarche de György, fidèle au bronze. [...]

Dans sa complexité et sa diversité, l'art visionnaire d'Albert György témoigne d'une dialectique personnelle entre souffrance et bonheur. Rien de décoratif ou de bavard dans ce jeu de tension créative aboutissant à un alliage vivant, empreint de la plus pure nécessité.

De nombreuses sculptures sont exposées dans divers musées d'Etat ainsi que dans des collections privées en Roumanie, au Canada, aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, en Suède, en ex-Yougoslavie. Hongrie et Suisse.

Pour en voir plus des oeuvres d'Albert György, son site : 

https://www.albert-gyorgy.ch/periodes-artistiques/

Né à Parme en 1975, Alberto Ghizzi Panizza a hérité sa veine artistique de son grand-père, un peintre naïf, et de son père, un photographe amateur. Il dessine et peint depuis son enfance, et a abordé la photographie argentique dans sa jeunesse. Grand amateur de technologie et d'informatique, il a commencé à utiliser assidûment la photographie numérique en 1998 avec une caméra de 0,06 mégapixel, croyant au potentiel énorme de cette technologie. Ce qui n'était au départ qu'un simple passe-temps est devenu, au fil des années, un élément majeur de sa vie.

Il a reçu plus de cinquante prix nationaux et internationaux et participe constamment à des ateliers, des cours, des expositions et des conférences dans le monde entier.

Reconnu comme l'un des meilleurs photographes italiens, il organise des cours et des ateliers, tant collectifs qu'individuels. Il enseigne à la Nikon School et à la Digital Camera School et collabore avec plusieurs agences photographiques internationales en publiant des photos, des articles dans plusieurs magazines italiens et étrangers, tant pour le web que sur papier.

Alberto Ghizzi Panizza aime particulièrement la nature et les animaux sous toutes leurs formes et est constamment à la recherche de la beauté du monde qui nous entoure, y trouvant sa principale source d'inspiration. 

On peut dire sans conteste qu'Alberto Ghizzi Panizza est l'un des photographes macro les plus innovants, talentueux et uniques en Europe. Avec une carrière qui s'étend sur près de deux décennies, l'Italien est devenu un maître reconnu de l'art de la macro, avec plusieurs prix à son actif pour des projets qui révèlent la beauté cachée de la nature au plus près.

Pour en connaitre plus sur l'artiste, 

son site  http://www.albertoghizzipanizza.com

sa page Fb https://www.facebook.com/albertoghizzipanizza

Miroslaw Maszlanko est un artiste talentueux s'exprimant à travers le Land Art, un art connu aussi sous les noms d'art de la terre, d'art environnemental.  Un mouvement artistique apparu dans les années 1960 et 1970.  Les matériaux utilisés sont toujours des matériaux de la terre  roches, végétations, sol, eau.  Les oeuvres sont créés sur le site même où les matériaux sont récupérés. La préoccupation de ce mouvement est le rejet de la commercialisation.  Ces tendances s'accompagnent d'aspirations spirituelles concernant la planète Terre en tant que foyer de l'humanité.

Né en 1963, Miroslaw Maszlanko est diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Varsovie. Il a participé à de nombreuses expositions collectives et a présenté ses œuvres lors d'expositions individuelles dans : Centre d'art contemporain de Varsovie, Galerie " Zderzak " de Cracovie, Galerie " Arsenal " de Białystok, Centre d'art contemporain de Kiev, Institut de la culture polonaise de Budapest. Il vit dans le village de Jatne, près de Varsovie.

Dans ses œuvres, l'artiste utilise des matériaux naturels. Il crée des installations artistiques éphémères, presque poétiques, et pourtant modernes, étroitement liées au site où elles se trouvent : Illuminations est l'une d'entre elles.

L'artiste crée ses sculptures, installations et formes spatiales à partir de matériaux naturels (brins d'herbe de l'espèce Molinia modra, cire, osier, feuilles et autres fragments végétaux, bois, bambou), en utilisant leurs propriétés pour atteindre l'expression artistique. Ses œuvres portent des traces de minimalisme. Leur existence est par définition de courte durée et éphémère. Ils sont étroitement liés à l'espace dans lequel ils sont créés. Ses œuvres montrent un lien fort avec le paysage rural, les espaces ouverts et la nature cyclique.

La page facebook de l'artiste où vous pourrez découvrir les nouvelles créations

 https://www.facebook.com/Mirosław-Maszlanko-133618716969853/

La crise hydrique au Cap (#CapeWaterCrisis) est une sécheresse persistante qui a affecté l'ouest de la province du Cap-Occidental en Afrique du Sud depuis 2015 jusqu'en 2020, entraînant une grave pénurie d'eau dans la région, affectant notamment la ville du Cap.

Alors que les niveaux des réservoirs de CapeTown ont chuté à des niveaux records, la CapeWaterCrisis est devenue une préoccupation majeure pour tout le pays. Ainsi la compagnie de danse BreakingBallet, a créé unne danse de la pluie pour la province frappée par la sécheresse.

Inspirée par la reine Modjadji du peuple Balobedu et tournée sur place, au barrage Theewaterskloof presque vide, la danse a été chorégraphiée et interprétée par la soliste senior Kitty Phetla.

Cette danse est aussi un rappel important de la valeur de l'eau pour la vie sur terre et de la nécessité de la conserver à tout prix. 

https://www.youtube.com/watch?v=xqiQ5csBtFg