Il semblerait que ce roman soit la suite d’un précédent intitulé : « Le Rasoir d’Ockham ». Je n’ai pas lu cette 1^ère partie et ça n’a gêné en rien à la lecture des Cathédrales du Vide. Il y a bien quelques allusions au précédent mais on peut sans crainte lire directement celui-ci ; l’histoire est indépendante.

L’enquêteur de la DCRI Ari Mackenzie se remet mal d’une rupture amoureuse, il se trouve en pleine dépression, lorsqu’il est contacté par un service adverse qui lui propose de reprendre une enquête qu’il a dû laisser en suspens sur ordre de son ministre. Malgré son refus, il se retrouve à enquêter en solo avec son ami de toujours. Il découvre que sous le couvert d’une organisation écologique, certains sont prêts à tout pour cacher un secret. Un secret transmis par l’alchimiste Nicolas Flamel dont on suit l’histoire en parallèle. Une organisation mystérieuse, des disparitions, des meurtres, l’enquête se révèle palpitante et mène nos protagoniste jusqu’en Amérique du Sud où se trouve une mystérieuse cathédrale au cœur de la jungle, sous laquelle se cache un complexe étrange avec des chercheurs de toutes origines mis au secret.

Quel est ce secret mystérieux qui a traversé les âges et pour lequel, le monde est prêt à se trahir, à s’entretuer…

J’ai bien aimé ce livre qui se lit vite et facilement. Un bon petit thriller, pas transcendant certes mais qui permet de passer un bon moment.