• Fanny CHIARELLO - Dans son propre rôle.

    Fanny CHIARELLO -  Dans son propre rôle.

     

    Dans le manoir où travaille Fennella muette depuis la guerre, arrive une lettre adressée à Kathleen Ferrier une cantatrice homonyme de la maîtresse de maison. Elle vient d’une femme de chambre du Grand Hôtel de Brighton Jeanette qui comme Fennella est passionnée d’Opéra. Jeannette est veuve. Elle a perdu son jeune époux à la guerre et ne vit que dans son souvenir en attendant de le rejoindre. Une correspondance va s’établir entre les deux femmes. Ces femmes enfermées chacune dans sa souffrance ignore encore l’impact que va avoir cet échange.

    Le destin n’est pas figé. Il se modifie au gré des rencontres mais aussi au gré de la volonté. Cette histoire nous le démontre.

    On y voit aussi que l’enfermement sur soi nous coupe de la vie. Et que c’est déjà en soi qu’il faut commencer à retrouver un espace de liberté.

    J’ai beaucoup aimé ce petit roman court.

    « Les insectes en hiver. Ah l'amour à Paris »
    Pin It

    Tags Tags : , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :