• Donna Meehan Mon enfance volée Une vie d aborigène

     

    Donna est une jeune aborigène.  A 5 ans, elle ne sait pas vraiment ce qu’est une aborigène. Elle est juste une petite fille ivre de liberté vivant dans le bush parmi ses frères, ses amis et joue comme tous les enfants de monde. Mais un jour la vie de Donna est bouleversée. Les services sociaux l’enlèvent à sa famille ainsi que ses frères. Elle se retrouve au sein d’une famille de blancs, déracinée, sans comprendre ce qu’il lui arrive. Heureusement ses nouveaux parents sont des gens de cœur, aimants et lui offrent un vrai foyer. Mais dans cette nouvelle communauté où elle est la seule aborigène, elle apprend le racisme. Peu à peu elle se persuade avoir été abandonnée volontairement par sa mère. Cette trop nette coupure entre les deux cultures va laisser en elle des plaies qu’elle ne comprend pas. Timide, effacée, ayant une piètre opinion d’elle-même, elle trouve une certaine assurance dans la foi et la maternité. Jusqu’au jour où le hasard la place sur le chemin d’une tante, sœur de sa mère génitrice. Elle retrouvera le chemin de ses racines, apprendra à se reconstruire, sera avide de connaissance sur ses origines. C’est cette expérience de vie que nous conte Donna dans ce 1er roman.

    Un roman écrit avec des mots simples sans fioritures. Un chemin de vie émouvant qui ouvre la porte à un pan de l’histoire de l’Australie, le vol des enfants Aborigènes souvent les petits métis afin de les assimiler dans le cadre d’une politique : Australie blanche.  Un scandale qui s’est vu dans d’autres continents également. Une politique qui a été appliquée jusqu’en 1969.

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  • Commentaires

    1
    renal
    Lundi 21 Juillet 2014 à 07:56
    Tu me donnes envie de lire ce livre !! Merci
    2
    Pestoune Profil de Pestoune
    Lundi 21 Juillet 2014 à 09:08
    Bonjour Renal. Merci de ton passage, pas eu de notifications pour le commentaire. Pour le livre, cette jeune femme a eu de la chance d'être tombée dans une bonne famille, mais combien ont été adopté pour servir d'esclave à bon marché, maltraités, affamés... Malheureusement trop d'hommes pensent encore que la couleur de peau, l'ethnie est plus importante que l'humain.
    3
    renal
    Lundi 21 Juillet 2014 à 18:20
    Encore un petit essai. Ma nouvelle adresse a été validé. Amitiés
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