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Nos priorités dans la vie
Cette vidéo nous amène à la réflexion. Un rideau, de part et d’autre deux personnes sont appelées à répondre à la même question : « Qu’est-ce qui vous rend heureux ? » La différence entre ses deux personnes est leur état de santé. Si pour l’une d’elle tout va bien, l’autre est un malade du cancer ou un proche d’un malade. Et la vision du bonheur des uns est si éloignée de celle des autres.
D’un côté, il y a les réponses terre à terre, les exams, le voyage, la richesse et de l’autre des réponses toutes différentes : marcher, la guérison, le vent sur le visage. C’est lorsque les personnes se présentent, lorsqu’elles disent leur maladie ou le drame de leurs proches que l’émotion gagne l’autre groupe qui se rend compte de la futilité qu’il donne au mot bonheuLe bonheur c’est le quotidien, le plaisir d’un instant, le plaisir de vivre, d’être, de partager, d’aimer.
« On n’apprécie pas notre vie, jusqu’à ce qu’on réalise qu’on peut la perdre à tout moment ».
C’est une association espagnole pour les adolescents et jeunes adultes touchés par le cancer, qui a réalisé cette vidéo avec l’aide de la photographe Paola Calasanz. Le but est de faire comprendre la valeur de la vie, de faire prendre conscience du sens du bonheur qui est loin du matériel.
https://www.youtube.com/watch?v=P0V-ERok0EQ
Tags : Pensées
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Commentaires
1DajaltosaJeudi 13 Août 2015 à 15:02Bonjour Pestoune ! Merci pour le partage, c'est très touchant et ça remet notre vision du monde à sa bonne place,VIVRE tout simplement et profiter sur l'INSTANT de ce que l'on a d'heureux, rien de plus. Ca peut paraître trop simple ou trop compliqué dans le flot de la vie, mais quand nous sommes confrontés, nous-mêmes ou nos proches à la maladie et à notre disparition (ou que l'on a conscience qu'elle arrivera quand même dans tous les cas) cela devient évident. Après je vois pour ce que j'en expérimente que l'esprit est quand même rebelle, y compris dans ces circonstances. Tant qu'acceptation et lâcher-prise n'auront pas été assimilés, que ce soit pour le malade ou pour l'aidant, c'est malheureusement une profonde dépression qui peut s'installer. Elle fait bien entendue parfois partie (plus ou moins longuement) du processus conduisant à l'acceptation et au progrès de l'esprit,mais rien n'est facile pour autant et cela recèle une grande force morale pour celui ou celle qui surmonte ces épreuves, toujours, et une élévation de notre âme. Merci encore pour le partageRépondre2DajaltosaJeudi 13 Août 2015 à 16:39Bonjour Pestoune ! Merci pour le partage, c'est très touchant et ça remet notre vision du monde à sa bonne place,VIVRE tout simplement et profiter sur l'INSTANT de ce que l'on a d'heureux, rien de plus. Ca peut paraître trop simple ou trop compliqué dans le flot de la vie, mais quand nous sommes confrontés, nous-mêmes ou nos proches à la maladie et à notre disparition (ou que l'on a conscience qu'elle arrivera quand même dans tous les cas) cela devient évident. Après je vois pour ce que j'en expérimente que l'esprit est quand même rebelle, y compris dans ces circonstances. Tant qu'acceptation et lâcher-prise n'auront pas été assimilés, que ce soit pour le malade ou pour l'aidant, c'est malheureusement une profonde dépression qui peut s'installer. Elle fait bien entendue parfois partie (plus ou moins longuement) du processus conduisant à l'acceptation et au progrès de l'esprit,mais rien n'est facile pour autant et cela recèle une grande force morale pour celui ou celle qui surmonte ces épreuves, toujours, et une élévation de notre âme. Merci encore pour le partage-
Et c'est dans ces moments-là que l'on se questionne sur le sens de la vie, sur le sens de notre vie. Prendre conscience que la vie n'a pas pour vocation d'être des Einstein mais simplement d'être. Notre rôle à chacun est important. Nous avons tous un rôle à jouer dans l'ordre du monde. Inutile de chercher bien loin. Faire de son mieux pour son entourage, dans son travail. Nous sommes les mailles d'une chaîne. Pour qu'elle continue à se dérouler, chacune de ces mailles est essentielles. Il suffit que l'une cède pour que le déséquilibre s'installe. Faire de son mieux au quotidien, tout simplement et être ouvert. Ouvert aux autres, à soi mais aussi au mystère insondable qui nous entoure. Le bonheur, c'est tout simple au fond : partage et ouverture et le monde est à nous. Merci à toi Jack
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... Oui, faire du mieux que l'on peut et ... tout simplement comme tu dis ! Cette phrase me résonne souvent. C'est tellement vrai ! Merci encore Pestoune !
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