Alors que Jacques a perdu sa mère, Toussainte, véritable égérie et passionnaria corse, il est élu président de la collectivité territoriale corse. Enfin il va pouvoir faire ce référendum tant attendu sur l’indépendance de l’Île de Beauté.  Mais lorsqu’il apprend que son frère de cœur a tué par accident un ouvrier clandestin et l’a enterré sur son domaine viticole, il est pris entre deux feux. Protéger l’un des siens ou le livrer à cette justice française dont il souhaite se libérer.  Un dilemme qui lui amènera des inimitiés car lorsqu’on est corse, on ne parle pas, on ne donne pas les siens.  Où est la morale ?  Peut-elle se concilier avec des combats politiques ?

J’aime la plume de l’auteure néanmoins, il y a des questions qui restent sans réponse dans ce roman, donnant l’impression qu’elle n’a pas été au bout de son écriture.  Mais j’ai envie de continuer à la découvrir à travers d’autres écrits