• Mr Mondialisation _ Mondialiénation (censurée sur YouTube)

     

    Qui cette vidéo dérangeait-elle pour avoir été censurée ?

    Il est temps d’ouvrir les yeux, de se poser les bonnes questions.  Est-ce le monde que vous voulez, celui que vous voulez laisser à vos enfants, vos petits-enfants ? Et surtout ne dites pas : je n’y peux rien, je n’y suis pour rien. Nous sommes une force, une multitude d’anonymes. D’une part nous pouvons œuvrer individuellement mais nous pouvons aussi nous regrouper pour dénoncer les exactions commises… L’union fait la force, dit-on alors unissons-nous pour sauver la planète et pour sauver l’humanité. Le pouvoir de l’argent nous rend dépendant, asservi. Nous sommes à l’ère du tout jetable… tout, y compris l’être humain qui est devenu une entité corvéable à merci au service de l’économie.

    Nos besoins vitaux : se nourrir, se loger, sont noyés dans la masse de besoins superflus qui nous rendent fragiles et dépendants… Toujours à la recherche de la pointe de la technologie, du dernier cri sans nous soucier de la façon dont tout cela est fabriqué, sans nous soucier des déchets créés… l’égoïsme domine la société. Le chacun pour soi, l’envie qui induit un désir perpétuel et jamais comblé.

    Dans le passé, l’objectif de chaque pays était l’autonomie énergétique et alimentaire.  On produisait en interne et n’était importé que le manque indispensable et exporté le trop… Si nous n’en étions pas à l’autarcie, nous avions tout au moins une véritable indépendance…  Chaque région exploitait ses propres ressources naturelles en fonction de son climat et de la nature de son terroir. L’économie s’en portait mieux puisque l’auto- production fournissait du travail.  Moins de gaspillage énergétique en allant chercher à l’autre bout du monde des choses pouvant être produites sur place… la mondialisation est une régression puisqu’elle nous rend dépendante les uns des autres et un formidable gouffre au gaspi.

    De plus le matériel qu’il soit électroménager ou autre était fait pour durer une vie. Aujourd’hui la recherche des coûts de production moindre, fait du matériel de qualité moindre n’ayant qu’une durée de vie limitée. C’est d’ailleurs même une volonté des fabricants : matériel fragile souvent renouvelé. Cela nous rend esclave de la consommation et complice aussi. De plus en cas de panne, les réparations sont quasi impossibles ou tellement chères qu’il est plus économique de racheter du neuf.  Tout cela finit à la casse, les déchetteries se multiplient et sont à la limite de l’implosion. Bien sûr on parle de recyclage, mais ça n’est souvent que poudre aux yeux. Bien du matériel ne peut se recycler indéfiniment. Alors nous croulons sous le trop…

    Pendant ce temps les ressources de la terre s’épuisent. Les forêts disparaissent, les mers se vident, les matières naturelles se raréfient. Nous détruisons la vie et pour finir nous détruirons la nôtre.

    L’erreur est de considérer l’écologie comme étant un parti politique. L’écologie n’est pas une politique, elle est une question de survie. Tous partis politiques, tous gouvernements et leurs ministères se doivent de prendre en compte l’urgence absolue de sauvegarder la planète pour la survie de l’espèce humaine. Nous ne pouvons plus nous permettre de jouer à l’ « après moi le déluge ». C’est une affaire qui nous concerne tous et de façon plus qu’urgente.

     

    A notre pauvre niveau, nous pouvons réduire nos consommations,  réfléchir à ce qui est vraiment indispensable, à ce qui est superflu. Il faut impérativement aussi éduquer, nos enfants, nos proches.  Faire prendre conscience du danger et de l’urgence.  Il ne s’agit surtout pas d’angoisser les enfants mais il faut leur apprendre à différencier l’indispensable du superflu,  la solidarité. Et parler, expliquer, convaincre sans cesse pour faire prendre conscience que nous vivons aujourd’hui sur une poudrière et que nous programmons notre propre fin.

    « La Machine à Ecrire. Lettre à mon Trésor ! »

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 20 Octobre 2013 à 17:04
    Vacherie de mondialisation et obsolescence programmée qui nécessiteraient une augmentation du consumérisme face aux grands groupes industriels qu'ils soient agro-alimentaire, pharmaceutiques, ou producteurs de tous les gadgets qui ont envahi notre quotidien jusqu'à ce qu'on ne sache plus comment s'en passer. Les générations à venir vont bientôt naitre avec une puce programmée pour interagir et faire fonctionner tout leur environnement. De simple mises à jours permettront d'y insérer les nouveautés. Ce sera nécessaire dans un monde où la surpopulation et la raréfaction voir la disparition de certaines ressources nécessiteront de savoir vivre (pour certains) ou survivre (pour d'autres) en osmose avec un monde programmé.. Notre terre arrive à la fin d'un de ses cycles et si l'humanité ne se ressaisit pas elle s'autodétruira ou sera détruite. Ce n'est pas pour demain (j'espère...) mais la date se rapproche où nous franchirons un pic de non retour dû à notre égoïsme. Dommage, car elle était belle la boule bleue qui décorait notre ciel.
      • Pestoune Profil de Pestoune
        Dimanche 20 Octobre 2013 à 18:08
        En espérant Nonoss qu'on ne l'ait pas déjà franchi ce seuil de non-retour... les matières premières disparaissent, la surpopulation, la pollution qui en est générée, la destruction irréversible de nombreux biotopes, la fonte des glaces et la perturbation climatique qui résultent l'un de l'autre... S'il n'est pas trop tard, nous en sommes vraiment tout proche.
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