Un joli livre aérien, plein de légèreté, beau.

Comment lutter contre la souffrance ? La sienne due à une rupture amoureuse, celle de son enfant trop doué, trop sensible, trop rêveur, trop proche de la nature…. trop tout mais pas assez du quotidien.

Célian ne se sent pas bien dans le système scolaire tel qu’il est et celui-ci ne le comprend pas. Il est malheureux, obligé de se tenir tranquille, éloigné du vivant, bridé dans le plus intime de ce qu’il est profondément.  Sa mère, venant d’être quittée par l’homme qu’elle aimait, se trouve désemparée devant la souffrance de son petit enfant lunaire, céleste, magique. Et soudain lui vient une idée Lorsqu’elle était fillette, son père lui narrait la vie d’un célèbre astronome danois Tycho Brahe qui grâce au roi Frédéric II du Danemark peut disposer librement pour ses recherches de l’île de Ven, une île entre la Suède et le Danemark, où il établit son observatoire astronomique.

Alors Mary et Célian vont aller sur les traces du grand astronome et trouver leur propre chemin ensemble.

Un roman plein de poésie, qu’on lit avec émotion.