Ce second volume emmène Diana Bishop et Matthew Clairmont dans le passé à la recherche du manuscrit mais aussi à la recherche de la sorcière pouvant libérer Diana du sortilège l’empêchant de pratiquer la sorcellerie. Nous sommes plongés au cœur de la période élisabéthaine dans l’Angleterre du XVIème siècle. On rencontre tous les grands personnages de l’époque : alchimistes, écrivains, peintres, intellectuels en tout genre. Mais la succession de rebondissements se meurt des longueurs du livre. On se perd dans des détails inutiles qui nuisent au roman et lui font perdre le rythme. C’est dommage car la trame est excellente. L’histoire aurait mérité un peu plus de concision voire de sobriété. Trop de détails étouffent l’intérêt. Beaucoup de questions sous-jacentes tardent à trouver une réponse et ça en est lassant. Malgré tout, la fin du roman nous laisse assez sur notre faim pour avoir envie de lire le 3^ème volume.