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Alessandro D'AVENIA - Blanche comme le lait, rouge comme le sang

Alessandro D'AVENIA - Blanche comme le lait, rouge comme le sang

S’il est une couleur que Léo, 16 ans, n’aime pas, c’est bien le blanc. C’est la couleur de l’absence, du vide, de la perte. Mais Léo aime le rouge, la couleur de l’amour, la couleur des cheveux de Béatrice, l’amour de sa vie même si elle ne le sait pas...

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Thomas GEHA – Le sabre de sang 1. – histoire de Tiric Sherna

Thomas GEHA – Le sabre de sang 1. – histoire de Tiric Sherna

C’est l’histoire de Tiric Sherna, d’origine shao, un peuple de fiers combattants en lutte contre l’invasion d’un peuples de reptiliens, les Qivhviens. Guerriers redoutables mais régime dominé par les femelles cruelles et ambitieuses. Tiric Sherna a été...

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Michel BUSSI - Sang famille

Michel BUSSI - Sang famille

Lorsque l’oncle et la tante de Colin Rémy, qui l’élèvent, lui proposent de choisir un camp de vacances, le jeune garçon de 16 ans de décide sans hésitation pour Mornesey. C’est qu’il a vécu sur cette petite île anglo-normande jusqu’à l’âge de 6 ans. Son...

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Alessandro D’AVENIA  Blanche comme le lait, rouge comme le sang.

Alessandro D’AVENIA  Blanche comme le lait, rouge comme le sang.

Léo 16 ans traine son adolescence comme un boulet. Il n’a pas de rêve, pas de passion, rien qui le transporte. Il joue au foot, mais déteste l’école où il s’ennuie. Bref un adolescent dans toute sa splendeur. Il n’y a qu’une chose qui le différencie des...

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Contre-attaque - Wladyslaw Szlengel

Contre-attaque -  Wladyslaw Szlengel

Contre-attaque - Wladyslaw Szlengel Dégoutés de tout, silencieux ils entraient dans les wagons Lançaient des regards soumis aux Saulys. - Du bétail ! Les beaux officiers se félicitaient de ne pas devoir s’énerver, Les hordes suivaient une marche hébétée....

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Dans la détresse sans borne de Jean-Pierre PARRA

   Dans la détresse sans borne de  Jean-Pierre PARRA

Victime de la vie Sous les lumières de Paris Témoin du malheur de la France Tu t’engloutis Ivre de la mort immense ouverte Dans la douleur Tu cries Routes de la vie fermées Du fond de ta raison étouffée Teint cendreux Sous la lumière funèbre silencieuse...

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