Par Pestoune
Tu pars !... deux jours hélas, et tu n'es plus pour nous Qu'un de ces souvenirs solitaires et doux Dont le cœur s'empare en silence. Pourquoi donc venais-tu si tu devais nous fuir ? Hélas ! mes jours sereins au nonchalant loisir Ne renaîtront pas de l'absence....
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Personne ne quitte sa maison à moins Que sa maison ne soit devenue la gueule d’un requin Tu ne cours vers la frontière Que lorsque toute la ville court également Avec tes voisins qui courent plus vite que toi Le garçon avec qui tu es allée à l’école Qui...
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