Par Pestoune
Je l’ai beaucoup cherché ce roman de mon adolescence qui n’est plus édité. Grâce à une proche amie, j’ai pu le relire avec émotion.
Des scientifiques en étude en Antarctique détecte un étrange phénomène sous la glace à 1000 mètres de profondeur. Lorsqu’ils atteignent l’endroit qui émet le signal, ils découvrent une étrange sphère dorée dans laquelle se trouve endormis un couple. Elle d’une beauté et d’une perfection inimaginable, lui plus commun, ils sont les survivants d’une civilisation vieille de 900 000 ans. Ils réveillent la femme d’abord, Eléa dont le médecin le Dr Simon tombe éperdument amoureux. Ils apprennent que l’homme est un scientifique qui pourra leur apprendre tout de la technologie très avancée qu’ils découvrent.
Mais avant tout, il faut, pour les scientifiques, protéger le site, les découvertes, Elea et Coban, de la rapacité des Pays qui voudraient tous se les approprier. Alors la science fait bloc, elle montre un humanisme que les politiciens n’ont pas. Ce qui se découvre là bas appartient à l’humanité et non pas à des élites dirigeantes qui feront tout pour essayer de contrôler et de s’emparer des découvertes.
Elea grâce à une machine traductrice, raconte comment la terre de cette époque s’est détruite par la guerre. Mais elle raconte aussi son histoire d’amour maudite avec son compagnon Païkan, que l’apocalypse a séparé.
La folie humaine est un éternel recommencement. L’homme n’a jamais rien compris, ne comprendra jamais. Il y a toujours une lutte pour un pouvoir qui prend le dessus sur l’humanité.
La science réussira t’elle à sauvegarder et à protéger cette magnifique découverte ?
Et l’amour de cette femme et de cet homme qui continue alors que le temps les a séparés à jamais. Quelle émotion.
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