Par Pestoune
Le tai-chi-chuan ("boxe de l'ombre» ou «poing final suprême") aurait vu le jour en Chine dans les montagnes sacrées du Wudang au XIIIe siècle, sous l'impulsion du moine taoïste Zhang San Feng.
Après un retour aux sources, dans les monastères et les temples du Wudang, on découvre ici les différents styles de tai-chi qui ont émergé au cours des siècles et leurs applications au quotidien, notamment via l'acupuncture. Après une étape à Hambourg, cap sur les Alpes de Slovénie où le grand maître Chen Xiao Wang forme de nouveaux élèves venus de Madrid, de Munich et de Moscou.
Tai Chi Der weiche Fluss der Energie
Réalisateur : Eberhard Rühle
Je pratique le Taï-chi-chuan, de l'école Yang, depuis 7 ans maintenant, autant dire une débutante. La pratique m'apporte de la sérénité, un certain détachement des choses. Nous sommes sans cesse dans le perfectionnement, le mouvement parfait étant impossible. Quant au Chi, l'énergie, une pratique régulière permet de la ressentir.
Pour ce qui est des bienfaits sur la santé, la pratique m'a permis de retrouver ma motricité et ma mobilité après une maladie de Lyme au stade 2. Pour les bienfaits du corps mais aussi de l'esprit, je n'ai pas trouvé plus épanouissant que cet art martial dit interne.
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