Par Pestoune
C'est après que ma fille et sa famille soient allés participer à une activité de dripping (technique consistant à projeter la peinture sur des toiles ou surfaces horizontales de façon à obtenir des superpositions de plusieurs couleurs d'un même spectre), que j'ai eu envie de redécouvrir les oeuvres de Jackson Pollock le précurseur de ce mouvement artistique. Je suis très attirée par ce genre de création et j'aime énormément ce qu'a fait Pollock.
Avant la création en famille. Après chacun était aussi peint que la jolie toile faite
"Je ne travaille pas à partir de dessins ou d’esquisses en couleur. Je peins directement. Je peins d’habitude sur le sol. J’aime travailler sur une grande toile. Je me sens mieux, plus à l’aise dans un grand espace. Avec la toile sur le sol je me sens plus proche d’un tableau, j’en fais davantage partie. De cette façon je peux marcher tout autour, travailler à partir des quatre côtés, et être dans le tableau comme les Indiens de l’Ouest qui travaillaient sur le sable. Parfois j’utilise un pinceau mais très souvent je préfère utiliser un bâton. Parfois, je verse la peinture directement de la boîte..."
Jackson Pollock est un peintre américain de l'expressionnisme abstrait, mondialement connu de son vivant.
La pratique du all-over ainsi que le « dripping » , qu'il a beaucoup employé de 1947 à 1950, l'a rendu célèbre grâce aux photos et aux films de Hans Namuth, réalisés plus ou moins dans le feu de l'action.
Sa reconnaissance, tardive après toute une vie dans le dénuement, a coïncidé avec l'émergence de New York comme nouvelle capitale mondiale de la culture, peu après la Seconde Guerre mondiale entre 1948 et 1950. Pollock fut le premier de la troisième vague d'artistes abstraits américains à être enfin reconnu, le premier à « briser la glace » (selon l'expression de Willem de Kooning), en ouvrant un passage dans le milieu des collectionneurs aux autres artistes de l'école de New York.
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