Par Pestoune
avec Christine Rollard, MNHN Paris et Aurélia Schneider, Psychiatre spécialiste en thérapie comportementale et cognitive.
Un fort pourcentage de la population française a peur des araignées… et vous ? Il existe une différence entre simple peur et phobie, notamment en terme de handicap. L’arachnophobie appartient au groupe des phobies dites « spécifiques », c’est à dire concernant une situation, un animal, ou un objet précis. Ces phobies dites spécifiques sont fréquentes : en population générale, le pourcentage de gens atteints varie entre 10 et 20%, touchant principalement les femmes (ratio : 2 à 4 pour 1). Si la simple évocation d’une maison de campagne, la vue d’une tache sur un mur ou la perspective d'un voyage à l'étranger est un véritable cauchemar, si la vue d’une araignée dans votre chambre vous fait aller dormir dans votre salon, pourquoi ne pas chercher à vous soigner ? A la fois :
En découvrant des outils pour y remédier, par exemple avec les approches de thérapies comportementales et cognitives
Et aussi en faisant connaissance avec cet animal fascinant
Leur diversité est vaste et la méconnaissance engendre souvent des peurs et des idées reçues qui sont généralement fausses
Une approche plus approfondie de leur monde, que l'on qualifiera plutôt de soyeux et sensoriel, est une des étapes primordiales dans la diminution de l'arachnophobie.
https://www.youtube.com/watch?v=lfWTD40bMEM
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