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    L’arrivée d’un petit frère est souvent un peu difficile à vivre pour l’ainé(e).  Les mauvais coups, les prétendus accidents ne sont pas rares… mais heureusement l’amour fraternel l’emporte. Une animation fort bien faite et drôle. Et un petit clin d'oeil familial !

    http://vimeo.com/7079285

    How to get rid of a baby brother ? (eng subs) from Céline Ternisien on Vimeo.


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  • Voir l'image à l'échelle Je me souviens avoir lu beaucoup d’emballements lors de la sortie de ce livre. L’occasion s’est présentée de le lire. Et euh comment dire : il est bizarre, inattendu, glauque et je ne sais pas trop quoi en penser.

    C’est l’histoire de la déchéance d’une naïve. En même temps que sa propre déchéance, je dirais que l’auteur nous raconte à travers la narratrice la déchéance de l’image féminine. J’ai dans la tête les images des clips de rappeurs américains où les femmes se trémoussent comme si elles n’attendaient que le moment où l’homme allait les saillir, je me dis que ça ressemble étonnamment à l’image porcine de l’héroïne dont le corps évolue vers l’animalité sans qu’elle ne puisse rien y faire. C’est assez dérangeant comme idée, très dégradant. Manipulée, rejetée, asservie c’est la vie de cette jeune femme. Mais l’animalité de la femme reste incomplète, elle garde en elle une part d’humanité lui permettant de constater et narrer l’évolution de la société en même temps qu'elle constate l'évolution de son propre corps.

    L’écriture est fluide, le livre se lit bien si tant est qu’on puisse entrer dans l’histoire.  La conclusion que je tire de ce livre, à l’instar de la conclusion du livre lui-même, c’est que le bonheur est dans le pré.

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    Ce colloque a été présidé par Yves Coppens, Boris Cyrulnik et Matthieu Ricard, organisé par Ecolo-Ethik.

    Au cours de ce colloque, près de 80 experts venant de différents « mondes » (agricole, industriel, politique, universitaire, syndical, associatif, scientifique) ont fait l’état sur la situation des animaux en France, sur sa place juridique, sur l’animal et l’éducation et sur la reconnaissance de l’animal par la science et la pensée.

    A l’issu de ce colloque, un rapport a été publié afin d’élaborer une proposition de loi tenant compte des avancées des connaissances scientifiques. Ce texte marquait une nouvelle étape dans la reconnaissance du rôle important que joue l’animal dans la société française, et ainsi soutenir un nouvel élan des actions de l’Union européenne sur le bien-être animal.

    Il a été rappelé que l'animal est un être sensible et qu'il ressent de la douleur. « Il y a zéro considération pour les animaux dans les élevages industriels. A nous de défendre leurs intérêts », a proposé depuis l'Australie, Peter Singer, philosophe auteur d'un livre de référence intitulé « la libération animale ».

    « Nous devons étendre notre altruisme à tout être », a expliqué Mathieu Ricard.

    Au mois d’avril, les députés ont reconnu aux animaux la qualité symbolique d’«être vivants doués de sensibilité», alors que jusqu’à maintenant le code civil les considérait comme «des biens meubles». Malgré tout, c’est très insuffisant pour la protection et le bien-être des animaux. En effet cette avancée est bien minime et la protection juridique des animaux reste très aléatoire.

    https://www.youtube.com/watch?v=43_SP5DU5RM


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    De temps en temps, je vais vous partager la vie de quelques grands mystiques de l’Eglise. Des vies extraordinaires, des destins hors norme dans une véritable humanité qui entraînent la conversion des foules, le retour à la Foi, à l’amour. Le curé d’Ars Jean-Marie Vianney, Marthe Robin, le Padre Pio, Ste Thérèse de Lisieux, Yvonne-Aimée de Malestroit… autant de guides spirituels pour les personnes en recherche, en questionnement, en attente… Bien entendu, je ne ferais pas une biographie, je me contenterais de les évoquer avec respect pour vous les faire découvrir. Je n’émettrais pas de jugement non plus. Chacun est libre de croire ou non, d’avoir la Foi ou non.

    C’est quoi les mystiques ?

    Les mystiques sont des personnes de foi qui vivent dans une union intime avec Dieu. Certains d’entre eux présentent des signes extraordinaires : stigmates, ubiquité, visions… Quelle souffrance lorsqu’on est humble de porter des marques qui nous différencie du commun des mortels. Ils ressentent leur différence comme une humiliation, une douleur supplémentaire, une honte.

    Que de tourments pour ces personnes ayant un destin qu’elles n’ont pas choisi, qui leur a été imposé, qu’elles finissent par accepter pour porter le rayonnement du Christ et qui sont des lumières dans la vie des croyants. Des lumières nous indiquant la route  à suivre pour vivre dans l’amour. Elles auront eu à subir la honte, la brimade, la suspicion, le rejet. Un combat au quotidien. Mais c’est surtout un combat quotidien du bien contre le mal. Le Diable existe-t-il ? C’est une longue et difficile question. Bien des prêtres et des croyants aujourd’hui ont tendance à penser que non. Et pourtant tout le monde reconnait que le mal existe. Qu’il est en chacun de nous, qu’il nous pousse parfois à commettre des choses, à dire des choses dont nous savons qu’elles vont blesser. Alors pourquoi ce mal ne pourrait-il pas être personnifié par un être différent, plus puissant que nous ne le voudrions. Je dois avouer que la question me laisse dubitative et que je n’ai pas de réponses. J’ai envie de croire que ça n’est qu’une illusion mais une partie de moi craint sa réalité. Ces mystiques ont pour beaucoup, une relation violente avec cette entité.

    On les croit fous, hystériques… l’incompréhensible, l’étrange fait toujours peur. Mais quoiqu’il en soit, ils ouvrent le chemin vers la charité, le partage, l’amour de l’autre, l’acceptation de Dieu et dans ce monde en fusion, c’est vrai que ces sentiments sont folie. L’amour du Christ, son sacrifice pour sauver l’humanité était une folie. La Foi est une folie, une folie d’amour. Que nous croyons en ces personnes ou pas, écoutons leurs messages, ils sont pleins de bon sens. Après tout, ils ne font de mal qu’à eux-mêmes et ils apportent tellement à une foule de gens dans le désespoir, dans la peur.  Ils valent les meilleurs des psychanalystes et n’attendent rien en retour.

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