• Réalisé par une quinzaine d’étudiants de l’école d’animation PrimerFrame, le court-métrage d’animation 3D Orbitas a été multiple fois primé. C’est  l’histoire de deux femmes vivant chacune seule dans leur vaisseau en orbite autour d’une planète.  Elles suivent depuis leur vaisseau la guerre qui sévit sur  la planète. Peu à peu, elles font connaissance. Faisant fi de leurs différences, elles apprennent à s’apprécier et donnent ainsi un message d’espoir pour la Paix allant jusqu’au sacrifice.

     

     

    http://vimeo.com/67596206


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  • Voir l'image à l'échelle Neely Crenshaw, ancienne vedette de l'équipe de football américain de Messina revient dans la ville de sa jeunesse après 15 ans d’absence. Il revient pour accompagner dans ses derniers moments l’entraîneur mythique de la ville Eddie Rake. Un homme qui aura été autant haï qu’aimé mais qui n’a laissé personne indifférent. Homme entier, il n’acceptait pas la défaite à aucun prix et exigeait de ses joueurs de donner plus que le meilleur d’eux-mêmes. C’est le prix du sang, de la sueur, des larmes qu’il fallait verser au quotidien. Toute la ville, tous les anciens joueurs sont là à attendre la fin d’Eddie et les souvenirs s’échangent, les secrets se divulguent, les rancœurs éclatent au grand jour, mais aussi la fierté d’avoir compté parmi les meilleure équipe grâce à lui, d’avoir réussi à faire partis de l’équipe.
    Un roman agréable à lire, éloigné des Grisham auxquels nous sommes habitués. Une analyse sociologique du monde du sport particulièrement du football américain très violent mais tellement important pour ce pays. C’est aussi un roman traitant d’amitié virile, d’esprit d’équipe. J’y ai trouvé une grande humanité.

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  • Les toubous sont un peuple de nomades pasteurs vivant dans le Sahara oriental allant du nord du Tchad au sud de la Libye et au nord-est du Niger. On estime que le peuple toubou est composé d’environ 650 000 personnes. Ce peuple est composé de deux ethnies : les Daza éleveurs de chameaux, bovins et les Teda éleveurs de chameaux et petits bétails mais plus nomades que les premiers.  Leurs campements est toujours à proximité d’un puits.
    Mais l’élevage n’est pas suffisant pour nourrir la population.  S’ils doivent parfois se résoudre à vendre une partie de leur cheptel, c’est vraiment qu’en dernier recours. Au Niger, les toubous ont prévu une autre ressource : les dattiers. En effet ils possèdent plusieurs palmeraies. Ce sont les femmes qui s’occupent de la récolte et pour se faire, elles partent tous les ans pour un périple durant 4 mois avec leurs enfants. Après 3 semaines d’une marche difficile et risquée la récolte va durer  environ un mois. Ramassage, séchage et empaquetage avant de repartir en sens inverse vers les marchés afin de vendre la récolte de dattes pendant un mois encore avant de prendre le chemin du retour. En tout c’est près de 1500 km qu’elles vont parcourir à pieds à travers l’une des régions les plus arides du monde qu’est le Sahara. Malgré tous les dangers auxquels elles sont confrontées : tempêtes, chaleur, orages violents, morsures d’animaux…, c’est grâce au revenu de la vente qu’elles pourront acheter les vivres et le nécessaire pour survivre une année.

     



    Le film « vents de sable, femmes de roc » nous montre cet extraordinaire voyage.
    Voici un extrait sous-titré en Français

     

    https://www.youtube.com/watch?v=UPG5a9uDqmA

     

     

    Et voici la version complète en Anglais

    https://www.youtube.com/watch?v=A23mN_QjNys

     

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  • "Saviez-vous que les arbres parlent? Ils le font pourtant ! Ils se parlent entre eux et vous parleront si vous écoutez. L'ennui avec les Blancs, c'est qu'ils n'écoutent pas ! Ils n'ont jamais écouté les Indiens, aussi je suppose qu'ils n'écouteront pas non plus les autres voix de la nature. Pourtant, les arbres m'ont beaucoup appris: tantôt sur le temps, tantôt sur les animaux, tantôt sur le Grand Esprit."

    Tatanga Mani un indien Stoney du Canada

     

     

     

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  • Voir l'image à l'échelle Dolores Tuoey se retrouve avec une petite fille maltraitée à charge. Mais Dolores a peur, elle se cache. D’ailleurs, Dolores n’est pas son vrai nom, en réalité, elle s’appelle Jane Doe. Elle est en fuite et s’est faite passer pour morte, y compris pour sa propre famille. Et sa terreur s’accroit lorsqu’elle apprend le meurtre rituel d’une jeune femme. Celle-ci a ouvert à son assassin qui l’a tuée, charcutée, extrait son bébé. Puis il s’en est pris au nouveau-né de façon horrible pour prélever une partie de son cerveau. Jimmy Paz et son coéquipier sont en charge de l’enquête. Jamais ils n’ont vu une boucherie pareille. De suite ils pensent au rituel d’un obscur culte satanique. Mais lorsque l’on retrouve une seconde femme tuée dans les mêmes conditions, la peur d’un serial killer s’impose. Leur enquête les amène très vite dans le monde de la santeria (une religion originaire des Caraïbes dérivée de la religion yoruba (croyance originelle de certains peuples africains), pratiquée entre autre à Cuba et basée sur la magie, la sorcellerie).

    Jane Doe est étroitement liée à ce qu’il se passe malgré elle. Elle comprend très vite que la fuite ne sert à rien, qu’il va lui falloir affronter celui par qui le mal arrive afin de faire cesser ses agissements.

    Un vrai thriller très noir avec un suspense insoutenable, de l’action. L’auteur joue avec les nerfs du lecteur. Dans le genre thriller-fantastique, ce roman est véritablement un coup de maître : il est efficace, effrayant à souhait.

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