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    Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints.

    Qu’est-ce qu’un saint ?

    Les saints ne sont ni plus, ni moins des personnes ordinaires, loin de l’image de superhéros, d’êtres parfaits qu’on aime leur donner. Ce sont des personnes comme tout un chacun avec des faiblesses et des défauts, qui se sont données à Dieu , se sont laissées envahir par lui, ont accepté sa volonté, accepté de suivre ses chemins et de respecter la ligne de vie proposée : vivre dans l’amour, le respect, la charité, la bonté, le pardon. Et c’est déjà une sacrée difficulté. Car si nous aimons notre prochain, nous ne pouvons-nous empêcher de le juger, de le jauger, de le vouloir à notre idée. Car si nous aimons Dieu, nous y pensons quand nous avons le temps, nous le prions surtout quand quelque chose va mal. Car si nous pratiquons la charité, nous donnons surtout notre surplus. C’est bien compliqué de devenir un saint et pourtant nous sommes appelés à le devenir tous. Malgré tout nous avons le choix : celui de répondre à l’appel ou pas.

    Certains Saints ont été reconnus par l’Eglise Catholique et sont proposés en une sorte de modèle dirais-je. Vous portez probablement le prénom de l’un d’eux et chacun a un jour qui l’honore dans le calendrier. Mais il y a aussi une foule de saints anonymes, qui n’ont pas été reconnus mais qui ont vécu dans les pas du Christ toute leur vie en toute discrétion, en toute humilité.

    La Toussaint honore toutes ces personnes, cette foule de Saints (comme le veut l’expression consacrée) connus ou inconnus. Un jour pour leur rendre grâce, pour les honorer, pour demander leur intercession.

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    Ce jour, dans toutes les églises du monde sera lu le texte dits : les Béatitudes ou sermon sur la montagne(Mt 5, 1-12).

    Voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui. Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait.

    Il disait :

    « Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.

    Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.

    Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.

    Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.

    Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.

    Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.

    Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.

    Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.

    Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.

    Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux !(…) »

     

    http://a136.idata.over-blog.com/4/41/29/41/Nouveau-Testament/Les-Beatitudes/beatitudes6.gif

     

     

    https://www.youtube.com/watch?v=amhgYxrI980

     

    « Dans les paroles des Béatitudes,  il y a toute la nouveauté apportée par le Christ : elles sont le portrait de Jésus, sa forme de vie et la voie du vrai bonheur pour l'homme. » le pape François.

     

    Source des coloriages: http://laviedesparoisses.over-blog.com/article-coloriages-les-beatitudes-122367387.html

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  • C’est dans la digne veine de Raymond Queneau qu’ont été créés ces petits poèmes humoristique. Paul Fournel  jongle avec les mots en nous présentant une faune bien étrange : le « serpent-dans-le-mille », le « bœuf-à-la-coque », le « fennec-plus-ultra », le « cafard-breton », « le python-à-l’huile » se côtoient et jouent avec les locutions pour notre plus grand bonheur.

     « Le cerf-les-fesses »                               

    Contrairement au mouton à grosses fesses

    Son cousin

    Contrairement au bon coco fesses

    Son voisin

    Le cerf les fesses est un couard

    Toujours inquiet toujours trouillard

    Jamais quiet jamais peinard

    Il craint pour ses grands bois dans les basses branches

    Il craint pour ses sabots dans le marigot

    Il craint pour son zizi quand il biche

    Il craint pour sa panse quand il broute

    Avant de manger il goûte

    Il chipote il picore il fait sa pécore

    Il craint l’épine pour son cuir

    Le vent dans ses frisettes

    Le froid pour son échine

    Il est étroit il est serré

    On le reconnaît de dos

     

    Le chat teigne

    Par quelque bout qu'on le prenne

    Le chat teigne pique

    Toujours de mauvais poil

    Toujours de bon piquant

    Roulé en boule verte

    Il broche la souris

    Lissé en boule brune

    Il lui casse les dents

    Ensuite il se déplie

    Bavousant éructant

    Péteux comme pas d'autre

    Le gazon raide l'oreille fendue

    Griffes dehors pures babines

    Il est de l'homme doux

    Le pire compagnon

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  • Un humour absolument décalé et décapant. J’ai beaucoup aimé

    https://www.youtube.com/watch?v=Lue0pFQ4fSY

     

     

    La paix  Bouddha
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  • Le photographe Québécois Patrick Di Fruscia parcours la planète pour capturer toute sa splendeur tout en nous livrant un puissant message de motivation.

    Des images tournées en Islande, le pays du feu et de la glace. Nous pouvons admirer des paysages de toute beauté plein de mystère. Et au milieu de ces merveilleuses images, un message pour nous donner envie d’avancer, de vivre.

    La vie est une question de passion, la vie est une question d’amour, la vie est une question de choix ! Commencez à vivre… MAINTENANT !

    https://www.youtube.com/watch?v=ubOZ31Jqu2s#t=23


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  • Reverra-t-on un jour des animaux vivant ainsi en toute liberté et heureux dans une ferme ? L’image de Walt Disney est fort éloignée de la réalité d’aujourd’hui. Des fermes avec plusieurs dizaines de têtes de bétail voire des centaines. Des petits animaux ne côtoyant plus leur mère et élevé au biberon et au lait industriel. D’autres, tels les cochons vivant une vie enfermés dans un réduit ; des volailles ne voyant pas ou peu le jour… Tout est informatisé, automatisé mais déshumanisé. Plus de véritables contacts entre l’humain et l’animal qui est considéré comme de la viande sur pieds. Cette image bucolique si réjouissante, n’est plus qu’un lointain souvenir d’un bonheur que les cours de ferme ne verront plus jamais.

    https://www.youtube.com/watch?v=zUd3MbPzHgs&feature=youtu.be


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