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    La photographe allemande Manuela Kulpa nous offre un regard plein de tendresse et d’émotion sur les animaux. Personne ne peut rester indifférent devant ses clichés. Il y a une telle force, une telle beauté, une telle sensibilité dans ces photographies que l’émotion nous étreint. Elle est le meilleur porte-parole de la cause animale et sa dernière collection : Africa Souls est à couper le souffle.

     

     

    Elle photographie les espèces en voie de disparition que ce soit dans un zoo ou un parc animalier et veut démontrer qu’il est important de préserver l’environnement afin de protéger les races animales. Nous ne sommes pas les seules espèces sur cette terre. Bien d’autres créatures ont été là avant nous. Selon le planétoscope : Une espèce animale ou de plante disparaît toutes les 20 minutes soit 26280 espèces disparues chaque année. Près d'un quart des espèces animales et végétales pourrait disparaître d'ici le milieu du siècle en raison des activités humaines. C’est un déclin unique dans l’histoire de la terre et nous en sommes pleinement responsables. C’est pourquoi, le travail de Manuela Kulpa est important :

        "Mes photos sont pour moi le moyen le plus efficace de montrer à quel point l’environnement est important. Même la plus petite contribution peut permettre d’assurer la survie de ces fantastiques créatures et de notre environnement."

     

     

     

    Quelle patience pour faire ressortir tous ces sentiments : la puissance, la tristesse, la tendresse.  Manuela Kulpa a humanisé l’animal en le rendant bien plus humain que l’Homme qui ne sait pas respecter la nature. Puissent ces photographies faire prendre conscience à l’humanité de sa responsabilité vis-à-vis de la planète, de la faune et de la flore. Et je tiens à rappeler que une grande partie de ces magnifiques clichés sont pris au travers de barreaux en métal, car c’est aujourd’hui la seule place qu’on veut bien laisser aux animaux : une cage ou au mieux un enclos. Aimeriez-vous vivre enfermés ? Voudriez-vous que l’on vous prive de la liberté d’aller où bon vous semble, de manger ce que vous avez envie ? Leur vie sauvage est plus difficile ? Certes mais ils sont LIBRES !

     

     

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  • Je suis une fan de science fiction et particulièrement de séries du genre Startrek, Stargate, Andromeda ? Lorsqu'on sait que les auteurs d'anticipation sont généralement des visionnaires, je pense à Robert Longo, Huxley, Burroughs, sans oublier l'un des plus illustre : Jules Verne, nous sommes en droit de nous poser la question suivante concernant stargate : 

    La porte des étoiles est-elle une réalité envisageable ? Des parasites comme les goa’uld sont-ils possibles ? Jusqu’à quel point la robotique actuelle se rapproche-t-elle des réplicateurs ?

    A propos de Stargate la porte des étoiles, ce documentaire m’en a appris énormément sur les avancées scientifiques réduisant à une peau de chagrin la différence entre la science-fiction et la réalité. C’est l’actrice de la série, Amanda Tapping, qui nous démontre que les scénarios et romans de fiction n’ont rien de farfelu et que la technologie et la science nous réservent bien des surprises. C’est absolument fascinant.

    https://www.youtube.com/watch?v=ij6RGI-Axg8


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  • Où sont dont nés les contes, et pourquoi ? Une femme l'a su, aux premiers temps du monde. Qui l'a dit à la femme ? L'enfant qu'elle dans son ventre. Qui l'a dit à l'enfant ? Le silence de Dieu. Qui l'a dit au silence ?

    Il était pour la première fois, dans la grande forêt des premiers temps, un rude bûcheron et son épouse triste. Ils vivaient pauvrement dans une maison basse, au cœur d'une clairière. Ils n'avaient pour voisins que des bêtes sauvages et ne voyaient passer, dehors, par la lucarne, que vents, pluies et soleils. Mais ce n'était pas la monotonie des jours qui attristait la femme de cet homme des bois et la faisait pleurer, seule, dans sa cuisine. De cela elle se serait accommodée, bon an, mal an. Hélas, en vérité, son mari avait l'âme aussi broussailleuse que la barbe et la tignasse. C'était cela qui la tourneboulait. Caressant, il l'était comme un buisson d'épines, et quand il embrassait en grognant sa compagne, ce n'était qu'après l'avoir battue. Tous les soirs il faisait ainsi, dès son retour de la forêt. Il poussait la porte d'un coup d'épaule, empoignait un lourd bâton de chêne, retroussait sa manche droite, s'approchait de sa femme qui tremblait dans un coin et la rossait. C'était sa façon de lui dire bonsoir.

    Passèrent mille jours, mille nuits, milles roustes. L'épouse supporta sans un mot de révolte les coups qui lui pleuvaient chaque soir sur le dos. Vint une aube d'été sur la clairière. Ce matin-là, comme elle regardait son homme s'éloigner sous les grands arbres, sa hache en bandoulière, elle posa les mains sur ses hanches et pour la première fois depuis le jour de ses épousailles elle sourit. Elle venait à l'instant de sentir une vie nouvelle bouger là, dans son ventre. "Un enfant !" pensa-t-elle, tremblante, émerveillée.

    Mais son bonheur fut bref, car lui vint aussitôt plus d'épouvante qu'elle n'en avait jamais endurée. "Misère, se dit-elle, qui le protégera si mon mari me bat encore ? En me cognat dessus, il risque de l'atteindre. Il le tuera peut-être avant qu'il ne soit né. Comment sauver sa vie ? En n'étant plus battue. Mais comment, Seigneur, ne plus être battue ?"

    Elle réfléchit à cela tout au long du jour avec tant de souci, de force et d'amour neuf pour son fils à venir qu'au soir elle sentit germer une lumière.

    Elle guetta son homme. Au crépuscule il s'en revint, comme à son habitude. Il prit son gros bâton, grogna, leva son bras noueux. Alors elle lui dit :

    Attends, mon maître, attends ! J'ai appris aujourd'hui une histoire. Elle est belle. Écoute la d'abord, tu me battras après.

    Elle ne savait rien de ce qu'elle allait dire, mais un conte lui vint. Ce fut comme une source innocente et rieuse. Et l'homme demeura devant elle captif, si pantois et content qu'il oublia d'abattre son bâton sur le dos de sa femme. Toute la nuit elle parla. Toute la nuit il l'écouta, les yeux écarquillés, sans remuer d'un poil. Et quand le jour nouveau éclaira la lucarne, elle se tut enfin. Alors il poussa un soupir, vit l'aube, prit sa hache et s'en fut au travail.

    Au soir gris, il revint. Elle l'entendit pousser la porte à grand fracas. Elle courut à lui.

    Attends, mon maître, attends ! Il faut que je te dise une nouvelle histoire. Écoute la d'abord, tu me battras après !

    A l'instant même un conte neuf naquit de sa bouche surprise. Comme la nuit passée son époux l'écouta, l'œil rond, le poing tenu en l'air par un fil invisible. Le temps parut passer comme un souffle. A l'aube elle se tut. Il vit le jour, se dit qu'il fallait partir pour la forêt, prit sa hache et s'en alla.

    Et quand le soir tomba vint encore une histoire. Neuf mois, toutes les nuits, cette femme conta pour protéger la vie qu'elle portait dans le ventre. Et quand l'enfant fut né, les contes des neufs mois envahirent la terre. Bénie soit cette mère qui les a mis au monde. Sans elle les bâtons auraient seuls la parole.

    Henri Gougaud   l'arbre d'amour et de sagesse.

     

    De Laurel Long ©

    http://www.laurellong.com/Home.html

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  • Comment nos portables sont-ils fabriqués ? A quel prix ? Il est temps de dévoiler les dessous de ce scandale : travail d’enfants, pollution des sous-sols…  L’équipe de cash investigation a enquêté et les conclusions de l’enquête sont absolument scandaleuses. Chine, Congo… et des êtres humains qui sont considérés comme des machines à travailler mais surtout pas des hommes, des femmes et oui, des enfants. Des vies sacrifiés, une ville complète sacrifiée pour le bonheur de quelques privilégiés. Avons-nous vraiment besoin du téléphone dernier cri ? Un smartphone qui bouffe deux fois plus d’énergie qu’un téléphone portable ordinaire, est-ce une nécessité ? Alors regardez bien, vous les accrocs à la technologique, toujours en recherche du dernier cri, de la pointe de la technologie… Ce que vous voyez dans ce reportage, dites-vous bien et sans vous leurrez que vous avez votre part de responsabilité. On ne peut décemment fermer les yeux sur ce scandale. Et vous ne pouvez pas, vous non plus utilisateurs, continuer à fermer les yeux. Vous ne pourrez plus dire : je ne savais pas. Il vous reste, il nous reste une conduite à tenir : menacer les grandes sociétés de ne plus acheter si les conditions de fabrication ne sont pas rapidement améliorées. N’oublions pas que, nous consommateurs, avons le pouvoir. En effet, toutes ces sociétés visent une seule chose : notre argent. Alors puisque l’argent mène le monde, menons le monde à notre tour en ne plus jouant le jeu de la façon dont ils veulent nous le faire jouer.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=w2PZQ-XprQU

     


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