• Grégoire Delacourt La première chose qu'on regarde

     

    644261lapremirechosequelonregardeDelacourt.jpg Arthur, jeune garagiste de 20 ans, regarde tranquillement la télé lorsqu’on frappe à sa porte. La surprise est de taille : Scarlett Johannsen se trouve à sa porte et lui demande de la recevoir. Comment cette bombe avec un tour de poitrine qui le fait fantasmer, peut se trouver là chez lui, puis manger à sa table, dormir dans son lit ? Mais Scarlett se prénomme Jeanine. Et peu à peu Arthur se met à aimer Jeanine qui le lui rend bien. Leur histoire commence en douceur, lentement.

    Ce sont deux individus cassés, deux écorchés vifs qui se découvrent. Lui est en manque d’une petite sœur morte dans des circonstances horribles, d’un père mystérieusement disparu et d’une mère qui noyait son chagrin dans l’alcool.

    Elle ? elle vit avec le souvenir d’un beau-père aux penchants pédophiles, d’une mère absente et surtout elle se demande comment être soi-même et vivre lorsqu’on est le portrait d’une autre.

    Il découvre la femme qu’elle est au-delà des apparences et elle trouve en lui l’homme attentionné, doux et respectueux dont elle rêve. Les âmes se livrent d’abord avant que les corps ne finissent par se découvrir. Mais cette belle histoire va finir tragiquement.

    J’ai aimé l’idée générale du roman mais je regrette que l’auteur n’ait pas su ou voulu aller plus profondément au cœur de l’histoire. Cette superficialité à la limite du brouillon m’a laissé sur ma faim. Néanmoins le roman se laisse lire sans déplaisir.

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