Une jolie vidéo pédagogique à voir avec les enfants pour leur expliquer la vie à la campagne, à la ferme, leur montrer les animaux de ferme et leur façon de vivre. Mais bien des adultes apprendront la façon de vivre des animaux de ferme.  Un film fort bien fait, ludique et très agréable à regarder.

Pauline a 6 ans et passe ses vacances dans la ferme de son oncle et sa tante. Avec Maurice et Louise, elle va découvrir tous les animaux de la ferme…

Continuez le visionnage après le générique de fin, il y a un petit supplément au bout de la vidéo.

http://www.youtube.com/watch?v=KoS9FEm8EK0

Le lion d’Asie est une espèce en voie de disparition. Il n’y a plus que 300 lions vivant encore en liberté. Il y a quelques siècles, son territoire s’étendait du sud-est de l’Europe, jusqu’en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Inde.  Mais dès la fin du XIXème siècle son territoire s’est réduit à la seule forêt de Gir au nord de l’Inde, soit environ 3000 km². Mais  en raison de la destruction de la forêt pour l’extension des pâturages, le territoire du lion d’Asie ne représente plus qu’une superficie de 1300 km².

L’espèce est plus petite que leurs cousins d’Afrique, sa tête est moins massive, la crinière moins fournie et une touffe plus fournie à l'extrémité de la queue. Mais tout comme leurs cousins africains, ce sont les femelles qui chassent. Leur façon de vivre est très similaire.

Leur territoire réduit, la diminution des proies, la présence nombreuse de l’homme poussent les lions à quitter leur territoire afin d’en trouver d’hypothétiques nouveaux. Or la cohabitation homme-animal est difficile dans un espace vital commun et surpeuplé. L’avenir du félin est menacé. Conscient que le lion d’Asie est l’un des félins les plus rares de la planète, certains hommes cherchent activement une solution. Le lion d'Asie figure à l'Annexe I de la CITES, et est classé "En danger critique d'extinction" (CR) depuis 2000. Un plan urgent de sauvegarde est actuellement en cours.

L'ours, cet animal que nous chérissons depuis notre plus tendre enfance, que nous continuons à admirer tout le long de notre vie. L'ours si pataud et attendrissant est un animal puissant, qui jouit d'une force extraordinaire. Il a été vénéré dans de nombreuses cultures notamment chez les Amérindiens. Depuis la préhistoire, au cours de l'antiquité jusqu'au monde moderne, l'homme a instauré un véritable culte de l'ours. Celui-ci était souvent considéré comme étant le double puissant de l'être humain.

Aujourd'hui encore les documentaires ayant attrait à l'ours rencontre un énorme succès auprès du public. Cet animal continue de nous fasciner. Je n'ai de cesse d'admirer la beauté de l'animal. Voici une rencontre avec l'ours noir du Québec pour mon plus grand plaisir et j'espère le vôtre.

http://vimeo.com/33825350

Delphinarium et autres parcs marins pour cétacés que ce soit au nom de la science ou du divertissement ne restent que des prisons. Même si les bassins sont immenses, ils restent toujours trop étroits pour ces grands animaux et la sensation qu’ils sont heureux n’est que leurre. Les dépressions, les manifestations d’agressivité chez les cétacés vivant en captivité sont indéniables. Bien sûr, les propriétaires de ces parcs et leurs employés essayent tous de se déculpabiliser en arguant du fait qu’ils éduquent les masses en leur montrant les animaux, qu’ils les étudient, qu’ils les sauvent de l’extinction. Mais tout cela n’est que mensonge destiné à masquer l’appât financier que représentent ces spectacles.

Dans cette vidéo, nous prenons connaissance de l’histoire de la captivité des cétacés (baleines, dauphins, orques ou épaulards…). Y est pointé du doigt cette véritable industrie qui enrichit quelques-uns. Chaque fois que vous visitez un parc de ce genre, vous participez à la maltraitance de ces animaux, indirectement certes mais votre apport financier leur donne raison. Il s’agit d’une histoire sordide où les animaux sont encore les victimes de l’appât du gain des humains. Ne vous fiez pas à l’image qu’on vous donne d’animaux heureux, qui s’amusent de leur plein gré. Il s’agit de dressage donc d’un rapport de force, de domination que l’homme impose à l’animal. On brise la volonté des animaux pour obtenir de leur part la réaction désirée. C’est l’homme qui nourrit, quel autre choix l’animal a-t-il que de céder à la volonté humaine pour ne pas mourir ? Mais tout cela n’est qu’illusion, ces animaux ne sont pas heureux. Beaucoup d’entre eux meurent prématurément, certains se suicident même, d’autres finissent par se retourner contre leurs dresseurs ou contre le public. Alors vous pouvez refuser de participer à cette mascarade en refusant de fréquenter ces lieux. De plus les conditions de leur capture sont traumatisantes pour ces animaux sensibles et absolument scandaleuses.

La place des cétacés est dans la mer. Qu’on utilise l’argent de ces parcs pour la sauvegarde du biotope marin. Pour moi le cheminement d’esprit est le même de mettre un poisson rouge dans un aquarium familial que de mettre un mammifère marin dans un bassin. Tous ces animaux n’ont qu’une place : leur milieu naturel.

Et pourtant les cétacés restent amicaux avec l’homme. Dans certains endroits dont au Brésil, ils les aident même à la pêche. Comment se fait-il qu’ils nous accordent encore leur confiance et leur amitié ?

Je suis véritablement outrée, scandalisée et en colère après ces images. L’être humain ne cessera donc jamais de tout détruire, de manquer de respect pour les autres espèces. Remarquons, qu’il n’a pas plus de considérations pour ses congénères. Etre capable d’autant de déprédations, destructions et d’inhumanité… A chaque fois je me dis que nous sommes vraiment l’espèce à éradiquer pour que la nature puisse reprendre son court et son cycle naturel.

http://www.youtube.com/watch?v=p7kQYj2MgAY

Un article d’un blogger e-ami sur un projet de loi concernant les dauphins :

http://christianlado.blogspot.fr/2014/02/remus-cernea.html 

http://www.youtube.com/watch?v=9cfSHMYloN0

Le mustang, symbole de l’Ouest américain, a conquis l’Amérique au temps des conquistadors soit au XVIème siècle avec l’arrivée de Cortez. Quelques chevaux des espagnols se sont échappés et ont retrouvé la vie sauvage. Il ne reste actuellement que 12 000 mustangs environ sur le territoire américain qui a une superficie de 9,6 millions de km² (sic).

Aujourd’hui l’état américain prétend qu’il y a trop de mustangs sauvages. L’espace vital leur étant dévolu, se restreint de plus en plus. Or il faut à un cheval 10 kg de broussailles quotidiennement. Donc selon l’état américain, les chevaux sauvages seraient bien trop nombreux. Il y a probablement une grande pression de la part des gros propriétaires terriens qui souhaiteraient récupérer les terres à leur profit. De même le projet de faire passer un oléoduc de 1100 km du Wyoming jusqu’en Oregon qui traversera la région où vivent les chevaux, sont aussi l’explication à cette volonté de trouver un prétexte pour capturer les mustangs.

La chasse aux mustangs étant interdite, les autorités américaines ont adopté une autre solution : les chevaux sauvages sont capturés, puis vendus à des éleveurs ou à des amis de l’espèce chevaline qui acceptent de s’en occuper pendant le restant de leur vie enfin c’est ce que l’on veut nous faire croire. Le documentaire nous montrera que certains de ces animaux sont vendus comme animaux de boucherie, notamment au Canada et tués d’une façon horrible.  La manière de capturer ces animaux est absolument scandaleuse. Traqué par des hélicoptères qui les terrorisent, les animaux galopent paniqués pendant des heures avant de tomber d’épuisement.  Il n’y a plus qu’à les attraper pour ceux qui survivent à ce traitement. Lors d'une capture dans les montagnes du Nevada, deux poulains ont été obligés de courir si longtemps et si vite qu'ils ont perdu leurs sabots, ils ne pouvaient même plus marcher, et ont dû être abattus.

La chasse légale des mustangs est vraiment un acte de maltraitance animale. A terme le mustang est appelé à disparaître en tant qu’animal sauvage.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=I5_F6lnAoOU