L'idée d'une évolution arrivée à son terme est une idée préconçue. En fait la vie est en constante évolution. Chaque être vivant s'adapte à son environnement. C'est l'évolution en marche.

Guillaume Mazille, photographe animalier, a photographié, il y a de nombreuses années, un comportement inhabituel des loups en Colombie-Britannique. En effet, ces loups n'hésitaient pas à plonger pour pêcher du saumon, ils étaient en train d'adopter un mode de vie marin.  Il a donc décidé de retourner sur les lieux pour voir comment ces loups ont évolués.

En effet il retrouve ses loups pêcheurs. Une famille complète jeunes et adultes pêchent le saumon sous l'oeil de la caméra. Mais pourquoi ne mangent-ils que la tête ?  Est-ce une véritable évolution de l'espèce ? Ces loups ont-ils radicalement modifié leur régime alimentaire ? Autant de questions qui se posent et dont Guillaume Mazille va chercher les réponses.

Les scientifiques sont persuadés que les loups de colombie Britannique sont  les futurs ancêtres d'une nouvelle espèce semi-aquatique qui disposera de pattes en forme de nageoire comme les morses, les phoques.

https://www.youtube.com/watch?v=-h5hqz41dPQ

De la ponte d'une coccinelle à 7 points jusqu'à la naissance d'une nouvelle coccinelle

Tout le monde connait la coccinelle, la bête à Bon Dieu comme le disait nos aînés. Mais savez-vous comment elle se développe ? Cette petite vidéo nous le montre. On passe donc successivement de l’état d’oeufs à celui de larves, de nymphe, et enfin on arrive à la naissance de notre coccinelle à 7 points (Coccinella septempunctata).

https://www.youtube.com/watch?v=AHOJByh2yOU

La vidéo vient des images du blog http://images-du-pays-des-ours.eklablog.com/

Un voyage au cœur d’une roselière !  Un chaos de roseaux, de joncs où le monde de l’air et de l’eau ne sont pas dissociables. De nombreuses espèces (grenouilles, brochets, foulques, grèbes, putois, hérons huppés, râles…) se côtoient ainsi, entre ciel et eau, et semblent vivre en autarcie depuis la nuit des temps. C’est un combat sans fin pour donner la vie et pour la conserver.

https://www.youtube.com/watch?v=Jm2_wyRhWFo        

Par – 50° aux pôles de grands prédateurs survivent dans ces conditions extrêmes.

Au nord, l’arctique, c’est le terrain de chasse de l’ours polaire, prédateur des grands phoques, voire des bélugas. Mais que c’est compliqué de se nourrir. Il faut être fin stratège pour survivre.

Au sud, l’antarctique, la patrie des manchots, c’est le terrain de chasse du léopard des mers, un phoque géant.

Les deux ont en commun la banquise mais à chacun ses techniques et ses moyens de survie.

Mais sous la mer, les belugas sont aussi des chasseurs. Le flétan est leur met favori. Leur sonar est impressionnant d’efficacité.

Les supers prédateurs sont les derniers maillons de la chaîne alimentaire. Grâce à eux d’autres pourront se nourrir. Mais hélas toute la chaîne est fragilisée par les activités humaines et ses conséquences.

Un magnifique documentaire à voir en grand écran.

https://www.youtube.com/watch?v=7X7aqWeTcJo

Coucou, coucou, coucou… nous avons tous entendu ce chant. Mais connaissons-nous l’auteur de ce chant : le coucou gris.

Celui-ci dépose ses œufs dans le nid de petits passereaux ou même de plus grands afin qu’ils élèvent ses petits.

Mais pourquoi les autres oiseaux ne s’aperçoivent-ils pas de la supercherie ?

Chaque femelle coucou est affiliée à une espèce d’oiseau. La mystification est poussée jusqu’à mimétiser les œufs de l’espèce colonisée parfois grossièrement mais suffisamment pour tromper les passereaux.

En Afrique, en Zambie plus précisément, vit un cousin du coucou, l’indicateur. Et lui aussi pond ses œufs dans le nid des autres.

https://www.youtube.com/watch?v=AHgpPnteOlk